image-2-417x600Dans le judaïsme, la présence de dix hommes est indispensable pour pratiquer les rites religieux. Or ils ne sont plus qu’une poignée à fréquenter l’unique synagogue de Corse. C’est l’histoire d’une petite communauté, sur une petite île, qui risque de bientôt s’éteindre…

Rencontre avec Gabriel Ohayon, le réalisateur de la Dixième Goutte, consacré à cette petite communauté juive de Corse en perdition.

Tribunejuive.info : quel a été votre parcours ?

 Gabriel Ohayon :  Après mon bac,  j’ai étudié le cinéma à la Sorbonne pendant trois ans. Ce faisant, je travaillais aussi en alternance dans une société de post-production. Pendant les vacances scolaires, lorsque je n’étais pas animateur à Yaniv, j’essayais de faire des stages sur des tournages. L’ambiance des tournages et des colonies de vacances ne sont pas si différentes…

En dernière année de licence j’ai profité des grèves universitaires pour réaliser mon premier court métrage, F@CE WORLD (http://facebook.com/LeFilm), qui est une parodie de facebook dans le monde réel. Le film a eu une jolie carrière (prix en festivals, achat par la télévision, buzz sur internet). Après la Sorbonne, j’ai eu l’opportunité d’intégrer un master en « réalisation et production », cursus qui était le fruit d’une collaboration entre une université (IUT de Corse) et une structure de production (Le GREC). Je reconnais que l’idée de terminer ses études au soleil n’était pas pour me déplaire…

TJ.INFO :  Vous destinez vous à la réalisation de courts métrages et documentaires ?

G.O : Dans l’espoir d’accéder à la production de long-métrage, le court métrage est un passage obligé pour tout réalisateur en devenir. En ce qui me concerne, j’ai pour objectif de réaliser des films de fictions. Cependant, j’ai toujours considéré l’école à la fois comme un catalyseur à projet, mais surtout comme un bon atelier d’expérimentation.
La réalisation d’un documentaire comme film de fin d’étude (La Dixième Goutte) était d’abord un exercice de style. Les contraintes que sous-tendent la mise en scène documentaire se sont révélées être de précieux atouts créatifs.

Rencontre avec Gabriel Ohayon, le réalisateur de la Dixième Goutte, consacré à cette petite communauté juive de Corse en perdition.

Tribunejuive.info : quel a été votre parcours ?

 Gabriel Ohayon :  Après mon bac,  j’ai étudié le cinéma à la Sorbonne pendant trois ans. Ce faisant, je travaillais aussi en alternance dans une société de post-production. Pendant les vacances scolaires, lorsque je n’étais pas animateur à Yaniv, j’essayais de faire des stages sur des tournages. L’ambiance des tournages et des colonies de vacances ne sont pas si différentes…

En dernière année de licence j’ai profité des grèves universitaires pour réaliser mon premier court métrage, F@CE WORLD (http://facebook.com/LeFilm), qui est une parodie de facebook dans le monde réel. Le film a eu une jolie carrière (prix en festivals, achat par la télévision, buzz sur internet). Après la Sorbonne, j’ai eu l’opportunité d’intégrer un master en « réalisation et production », cursus qui était le fruit d’une collaboration entre une université (IUT de Corse) et une structure de production (Le GREC). Je reconnais que l’idée de terminer ses études au soleil n’était pas pour me déplaire…

TJ.INFO :  Vous destinez vous à la réalisation de courts métrages et documentaires ?

G.O : Dans l’espoir d’accéder à la production de long-métrage, le court métrage est un passage obligé pour tout réalisateur en devenir. En ce qui me concerne, j’ai pour objectif de réaliser des films de fictions. Cependant, j’ai toujours considéré l’école à la fois comme un catalyseur à projet, mais surtout comme un bon atelier d’expérimentation.
La réalisation d’un documentaire comme film de fin d’étude (La Dixième Goutte) était d’abord un exercice de style. Les contraintes que sous-tendent la mise en scène documentaire se sont révélées être de précieux atouts créatifs.

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