Dedier une halakha - Bandeau

Aujourd’hui Jeune de Guedalia. #TsomKal

Se préparer au jour de Kippour

Se réconcilier avec son prochain

Étant donné que Kippour n’efface pas les fautes commises envers son prochain, tant que celui-ci ne nous a pas pardonné, il faudra s’efforcer de demander pardon sincèrement à tous ceux que l’on a pu offenser. Parmi ces personnes, on commencera par ses parents, vis a vis desquels c’est un devoir sacré d’implorer le pardon pour toutes les fautes ou manque de respect dont on est répréhensible. Puis à sa femme ou à son mari en s’excusant d’avoir dit dans la colère des paroles blessantes ou inexactes.

Kaparoth avant Kippour

C’est un très vieux minag qui consiste à abattre une volaille (un coq pour les hommes ou une poule pour les femmes) pour chacun des membres de sa famille. Avant que le cho’het (professionnel qui abat la volaille selon les règles de cacherout) pratique la che’hita (abattage rituel), on fera tourner la volaille au dessus de sa tête en disant un texte que l’on trouvera dans les livres de prières.

Pendant ces kaparoth , il faut être animé d’un désir de repentir et de ne pas oublier que ce que subit la volaille rappelle les quatre différentes peines de mort que le beth-din (tribunal juif) pouvait infliger et qui pourraient bien nous être appliquées…

A défaut de pouvoir pratiquer les Kaparoth, on pourrait donner une somme d’argent (équivalent à un poulet) au Rabbin de sa communauté.

Immersion au mikvé la veille de Yom Kippour

Les hommes ont l’habitude de se tremper dans un mikvé la veille de Kippour en l’honneur de la fête. Tout comme pour le Mikvé de la veille de Roch Hachana, le Ben Ich ‘Hai nous rapporte les 5 kavanoth (pensées) que l’on doit avoir lors de 5 immersions totales : voir ici le détail.

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Lachone Hara’ – Introduction

 

Certains transgressent cet interdit car ils ignorent que l’interdit de la médisance porte également sur des propos véridiques, ou bien ils pensent qu’il est permis de dire d’une personne qu’elle n’est pas intelligente, ou encore ils ignorent qu’il est interdit de simplement croire dans son cœur à du lachone hara’. D’autres fois, le mauvais penchant prétend qu’il s’agit d’un homme flatteur ou ba’al ma’hlokète (qui recherche la dispute) et qu’il est permis de parler de lui. Quelquefois, le penchant agit de manière inverse. Il rend à la personne le sujet de lachone hara’ extrêmement grave au point de lui montrer que toute parole constitue de la médisance et que s’il ne veut pas trébucher dans cette faute, il doit se séparer totalement des affaires de ce monde. Enfin, les gens ne savent pas comment réparer leur erreur s’ils ont transgressé ces interdits.

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©LaQuotiHalakhique

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