Sous l’impulsion de Léa Tov, passionnée et hyper active, l’équipe de la rédaction du magazine a réussi des prouesses.

Travail, recherches, rencontres passionnantes, études rigoureuses, l’équipe présente un Life style sans tabou ni censure, pour les Juifs d’ici et d’ailleurs.

Faire le lien entre les Juifs du monde, présenter sans langue de bois ce qui se fait et se dit, de la médecine esthétique à la politique, en passant par l’héroïne du mois, Josiane Sberro, l’art vu par Daniel Siboni, Eurabia par Ruben Layani, les pervers narcissiques par Sophie Cohen, et bien d’autres articles qui vont vous étonner ou vous intéresser.

Le choix du nom de Golda place le magazine dans le sillage exigeant et volontaire de notre Golda nationale.

Israël est un petit pays mais tout le monde nous regarde : Golda se doit d’être une vitrine exacte et attractive de l’Alya.

Dans ce premier numéro, Léa Tov rend hommage aux collaborateurs expérimentés qui l’accompagnent et lui apportent un soutien sans faille.

En premier lieu hommage à l’écrivain Yaël König. Yaël a reçu son premier prix littéraire à 9 ans ! Le second à 16 ans, et après on ne compte plus. Elle n’a pas fait son Alya pour bronzer, mais pour participer à la vie israélienne. Un ouvrage en lecture à Yad Vashem, un autre qui sort chez Elkana dans quelques jours, et un travail quotidien pour Golda, voilà qui dessine un peu la rédactrice en chef de Golda.

Autre personnage de talent, le directeur artistique de Golda, Daniel Siboni. Un artiste photographe, un maître, dont le talent ne se dément pas depuis qu’il fut directeur artistique chez Vogue. Lui aussi décide récemment de quitter les USA et de rentrer à la maison. Depuis il ne cesse de travailler. Le Street Art n’a pas de secret pour lui. Ses photos immortalisent un instant qui devait être éphémère. Daniel Siboni est très demandé en Israël, pour des travaux innovants et prometteurs. Son regard sur Golda est une sécurité de bon goût et d’exactitude.

Jean-Claude Elfassi, célèbre journaliste, a rejoint l’équipe avec enthousiasme.

Après Sciences Po et l’obtention de titres prestigieux, Nili Pitchon est devenue une journaliste politique diplômée dont les analyses et les observations comptent.

Sandrine Assaraf Krieger accompagne Léa depuis ses débuts. Travailler ensemble les réunit et leur réussit.

Mégane Meimoun, passionnée de mode, pionnière de l’aventure Golda, s’envole vers des cieux prometteurs. Elle a l’œil, le talent, le bon ressenti. Elle est dévouée. Une Golda, quoi !

Des journalistes « apprentis » de talent se sont joints à cette merveilleuse aventure : Ruben Layani, qui manie l’hébreu, l’anglais et le français sans la moindre hésitation et livre d’intéressantes analyses sur Eurabia, Maayane Ktourza, Sophie Cohen, Samantha Msihid. Impliqués, pleins de bonne volonté, ne demandant qu’à devenir plus performants encore, ils travaillent et progressent sous l’égide de l’équipe.

Comme dans une figure géométrique, toutes les lignes de Golda se recoupent sur l’écran de la graphiste Yaël Nadjar, jeune fille pétrie de talent. Incontestablement douée, Yaël Nadjar ne compte plus les nuits blanches à cause de Golda, mais elle ne se plaint pas et travaille avec le sourire.

Enfin, pour permettre à tous de travailler en toute sérénité, la régie publicitaire dirigée par la talentueuse Muriel Taïeb redouble d’efforts, attirant l’attention des annonceurs sur ce magazine de luxe destiné aux Olim francophones et anglophones, puisqu’il est bilingue.

Tant qu’à être fous de passion, les journaliste de Golda le sont jusqu’au bout, en vous proposant un magazine bilingue français-anglais.

Voilà qui est Golda, une maison, une famille, un espoir devenu réalité sous la houlette compétente de Léa Taïeb, tous tendus vers la réussite de Golda Magazine, une fierté franco-israélienne !

Patricia Hassoun
©ashdodcafe.com

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