Le pouvoir de nommer et d’innover répond aux alarmes de la vie de nos sociétés européennes en péril d’être pillées et « remplacées » par des imitateurs mahométans barbus, orchestrant un stratégique et méthodique retour vers les temps moyenâgeux du septième siècle.

Il est évident qu’un esprit génocidaire hante toujours le coran qui, à son tour alimente ses centaines de millions de dévots de part le monde. Et cela dure depuis près de 15 siècles. C’est une constante strictement religieuse que d’appliquer la déontologie maléfique du Prophète Mahomet.

Cette inféodation initiale est datée de l’an 627 à Médine. C’est ainsi, par soumission inconditionnelle que l’esprit de mort barbaresque se perpétue de siècle en siècle, croissant toujours plus en puissance hégémonique dans les cinq continents. Le massacre initial référant fut celui de la tribu juive des Banû Quraydha, planifié par le Prophète lui-même et dans lequel il participa activement en viols et décapitations. Ce premier acte de barbarie significative servira de divin modèle. Il perdure jusqu’à nos jours par l’État islamique (ISIS), de même que toutes les mouvances religieuses terroristes de l’Oumma.

Ses hordes terroristes qui tuent à l’aveuglette, ne font qu’imiter ce prophète de la mort « en son nom », dans le but de créer la peur massive, le chaos contrôlé, et d’illustrer sa geste impérieuse par la domination des peuples mécréants qui les accueillent.
Cependant, par héritage génétique et historique, l’homme peut devenir un véritable génie de l’invention défensive et offensive. Il peut affronter et vaincre cette criminalité plurielle qui phagocyte son identité, son Histoire, sa citoyenneté et ses biens.

Nommer et innover sans cesse devraient être la constante de ce précieux héritage mémoriel. Pour tous ceux qui en sont conscients,
ce savoir leur permettraient d’avoir une longueur d’avance sur leurs adversaires, en les nommant « islamistes mahométans » afin de les combattre avec force, innovation et « intelligence spirituelle ».

Les verbes de nommer et d’innover sont chargés d’une formidable puissance, délibérément oubliée par les agnostiques et les athées.

Pourtant ce fut par le pouvoir de mots existentiels que le Créateur édifia la création prodigieuse de l’Univers, de notre merveilleuse planète bleue et de chacun d’entre-nous, amis/ennemis, détenteurs du Bien et du Mal qui, « bêtement », depuis l’aube des temps terrestres… s’entre-tuent.
L’Eternel offrit à l’homme une conscience libre lui permettant « d’être ou ne pas être », de vivre ou de « partir » (nouvelle mode pour « mourir »). Il lui donna le pouvoir de nommer les choses vivantes qui les environnaient (plantes, animaux), ainsi que l’aptitude intellectuelle nécessaire pour agir envers son évolution technicienne sur terre. Seule obligation pour l’homme adamique, agir en son âme et conscience.
Dès lors, il fut rendu pleinement responsable de ses mots actées. Mais quel immense pouvoir lui a été confié ! Celui de nommer. Or, qu’en fit-il ? Une petite histoire événementielle d’hommes, qui s’interrogent et s’en alarment. Ils ne veulent pas entendre ce que dit l’urtiquante Bible: « Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. ».
Aujourd’hui, nos sociétés sont dans une phase de déclin moral, due au conditionnement médiatique assénant ses idéologies du paraître, du consumérisme, de peur et de mensonge à tous les niveaux de conscience. Nombre de Dirigeants actuels n‘osent même pas « nommer » l’ennemi qui veulent délibérément les assassiner.

Le pouvoir des mots évidés, verbeux, dégénérés au travers de l’espace-temps historique, jusqu’à nos jours tourmentés et confus.
Quelle dommageable perte de puissance, méconnue, mésestimée, oubliée, alors qu’elle pourrait guérir la peur latente (prélude à la mort) qui habite les futiles et suffisants humains occidentaux en particulier.
Bien nommer les choses (les armes et leurs usages) et les dangers (avec des stratégies innovantes) permettrait de rectifier la gestion des risques mortifères qui barrent l’horizon de la vie. Or, pour des aventuriers de l’extrême, entrepreneurs audacieux, découvreurs de secrets enfouis, soldats héroïques, stratèges militaires
géniaux, pour ces hommes-là, nommer et innover sont des mots flamboyants ! Par leur exemple, ils peuvent galvaniser des hommes et femmes tourmentés par le principe d’incertitude face aux temps mauvais qui s’amassent et qu’ils n’osent pas affronter.
Les mots nommer et innover devraient s’appliquer en premier lieu aux Autorités dirigeantes d’un monde politique inadaptés à l’irrationalité qui parcourt la terre, trop timorés pour rompre ou rectifier leur mentalité arriérés et coutumière, leurs mésalliances douteuses et leurs
compromis pseudo tactiques fondés sur des rapports de force-menteurs, pour le pouvoir, le gain falsifié et l’avide cupidité.

Le pouvoir du verbe
Par François Celier
Pasteur pragmatique

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