Le maire Dr. Yehiel Lasri adopte la proposition de l’avocat Hanoch Derech Erlich, membre du conseil municipal de demander aux entreprises, restaurants et usines d’Ashdod de s’équiper d’injections d’Epipen en cas de réaction allergique extrême de la part de clients ou employés.
Le Dr Lasri a déclaré qu’Ashdod sera l’une des villes pionnières dans ce domaine.

La semaine dernière, nous avons été horrifiés par la mort tragique d’Osher Deri, 22 ans, des suites d’une grave réaction allergique au lait lors d’un repas dans un restaurant de viande.

« S’il y avait eu une injection d’Epiphen dans le restaurant, sa vie aurait pu être sauvée ». C’est ce qu’écrit le maire, le Dr. Yehiel Lasri dans un post qu’il a mis hier soir sur sa page Facebook, notant qu’il a décidé d’adopter la proposition d’un membre du conseil municipal, l’avocat Hanoch Derech Erlich. Il propose que la municipalité agisse pour promouvoir une législation locale qui obligerait les institutions publiques, les entreprises, les restaurants et les usines, où de la nourriture est servie, à s’équiper d’injections d’Epipene.
« une injection d’épipène peut sauver des vies en cas de réaction allergique sévère à n’importe quel ingrédient alimentaire. »

Le Dr Lasri note qu’il existe déjà une législation nationale concernant les établissements d’enseignement, où il est obligatoire de posseder des injections d’Epiphen, de sorte que la nouvelle initiative vise à étendre le cadre de la loi à l’autorité locale, par le biais d’un règlement afin que l’injection soit disponible dans d’autres endroits où des produits alimentaires sont servis.
Le maire a noté que d’autres autorités ont également l’intention de promouvoir la législation locale sur la question et de ne pas attendre une législation nationale qui peut prendre beaucoup de temps.

« Dans cette affaire aussi, Ashdod sera l’un des pionniers », écrit le maire, précisant que « dans l’intervalle, il est important qu’en cas d’allergie, il faut informer le personnel de service des restaurants ».

Nos sages ont dit que « quiconque sauve une âme, sauve le monde entier ».
Il est clair que cette initiative relève de la surveillance medicale mais surtout elle est une conséquence de la tragédie de cette pauvre Osher Deri, et tout le monde admet que si elle avait reçu de l’aide, elle aurait survécu.

Communiqué municipal

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