La photographie d’art, la communauté et la nostalgie ont rejoint le projet Stand Weiss, du quartier Alef : Photo Weiss. Cette méthode traite la photographie comme un outil pour l’ autonomisation d’ une communauté. Exposition ce Week – end de huit artistes résidents d’Ashdod, qui explorent le nouveau quartier à travers le passé et le présent.

 

L’art de la photographie :  PhotoWise est une méthode, un programme qui se rapporte à la photographie en tant qu’outil d’autonomisation d’une communauté.
Dans le cadre de « Merhav Yatzira », qui fait partie du service Municipal de la Culture et les Loisirs, un appel a été lancé pour inviter les gens à prendre part à un cours de courte durée.
La plus grande partie du cours a eu lieu dans la «zone» du quartier Alef : des photos ont été prises de façon créative sous différents angles du quartier ancien et chéri de la ville d’Ashdod .
Fin décembre, une exposition de huit artistes, résidents d’Ashdod, qui ont entrepris d’explorer et de redécouvrir le quartier passé et présent aura lieu.

 

À Ashdod, le projet PhotoWise a appelé les habitants de la ville, y compris les résidents du quartier, que ce soit du présent ou dans le passé, a remonter le temps et a regarder dans tous leurs souvenirs : nostalgie, innovation et renouvellement urbain.

« Merhav Yatzira » a lancé un appel aux photographes professionnels, amateurs et résidents de la ville d’Ashdod pour participer à un projet communautaire du quartier Alef.

Le Projet « Photo Weiss » Ashdod est mis en place en « collaboration avec la ville d’Ashdod : Merav Ben-Shoshan, Reuven Ben-Lulu, Ricky Birnbaum, Shmulik Dwek, Chen Osipov, Roz Savage, Aviram Elisha et Shosh Alisa.
Les  photographes viennent d’horizons différents et chacun d’eux à explorer le quartier dimanche et a choisi un projet, par exemple  Aviram Elisha s’est interessé a photographier la communauté karaïte d’Ashdod, considérée comme la plus grande en Israël (environ 25 mille) dans la synagogue karaïte située dans une des rues et il décrit le processus de son observation personnelle de vieux laïque : la synagogue, la foi – Torah écrite et la Torah orale, les tapis de la synagogue, le fait d’enlever ses chaussures et de rentrer les pieds nus …

Un autre participant, Meirav Ben-Shoshan a choisi pour projet de comparer des photos prises par son père a l’époque rue Rogozine et les memes endroits aujourd’hui. Les lieux les gens, les souvenirs de lorsqu’il était enfant, tout remonte a la surface, etc…

Dans l’exposition qui sera bientôt ouverte, les artistes sont en réalité des photographes, des résidents professionnels ou amateurs de la ville d’Ashdod, dont la plupart ont grandi ou passé la majeure partie de leur temps sur ces lieux. Les images seront affichées à côté des boutiques des commerçants du quartier Alef qui ont accepté de participer au projet. L’ensemble du projet est coordonné et réalisé par Tali Mayer, et l’exposition ouvre officiellement  mercredi 27/12 à 18h30 et se poursuit pendant trois jours (pendant le festival Fringe). L’entrée est gratuite !

Service culturel de la ville d’Ashdod

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