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Comment ne pas comprendre la colère de notre jeunesse juive et sa volonté d’en découdre avec les pogromistes ? Rony Akrich

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Nous voilà contraints de revivre ces scènes de sauvagerie inhumaine, ces douloureux moments où la barbarie reprend ses devoirs immondes.

Depuis des jours, des semaines, que dis-je, depuis des mois, des années, nous avons la nette impression d’être les victimes innocentes de la folie meurtrière, de la haine sans fin, de l’antisémitisme au visage assassin, de l’antisionisme aux couleurs de l’islamisme.
Israël, Bafoué, outragé, meurtri par des hordes pogromistes à l’intérieur même de l’état d’Israël! Le pouvoir, intérimaire, résiste sur tous les fronts envers et contre toutes ses angoisses bien légitimes. Tant de violence crachée, éructée à la face du pays révèle le mensonge de la coexistence pacifique. Les vomissures de l’islamo-fascismes, au cri d’Allah akbar, brulent, caillassent, lynchent, assassinent définitivement le faible espoir d’un illusoire vivre ensemble.

Les questions, les interrogations fusent de toutes parts et rencontrent trop souvent des pouvoirs politiques et religieux incapables d’y apporter ne serait-ce que l’once d’une véritable et honnête réponse.

Une grande majorité de la population respecte ses gouvernants comme ses différents gouvernements, mais nul ne comprend ce doute maléfique, cette frilosité exilique, ce mauvais génie qui les entreprend lors de périodes vitales pour le devenir d’Israël.

Nous voici depuis la guerre des Six jours confrontés aux hésitations et aux mensonges idéologiques : Jérusalem se lamente sur sa double personnalité, Rachel se lamente du fond de son nouveau bunker à Bethléem, Yossef souffre de ces seules visites nocturnes jamais mises à jour et nos Patriarches et Matriarches se consolent mutuellement car ils ne voient que des pèlerins et rarement des citoyens.

Comment ne pas comprendre la colère de notre jeunesse juive et sa volonté d’en découdre avec les pogromistes. N’oublions pas, l’exil est derrière nous et nul ne courbera l’échine.
Néanmoins, ce n’est pas à la rue de faire la loi mais au gouvernement souverain et indépendant d’Israël d’agir sans ambiguïtés aucune! L’état de droit doit faire entendre sa voix et être respecté à tout prix et de toute les manières!

Rony Akrich

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