La note « A » est au niveau 6 sur une échelle de 20, et cette promotion est d’autant plus méritoire que la tendance générale des pays de l’OCDE est à la baisse des notations des principales agences, « Fitch Ratings Ltd », « Moody’s », ou « Standard & Poors ».
Dans ses motifs, la société « Fitch » salue « les succès israéliens impressionnants dans le domaine macro-économique, la variété des sources d’investissement et un équilibre budgétaire strict ». L’agence note aussi, et c’est important « les prévisions économiques stables pour Israël pour les années à venir malgré l’incertitude géopolitique régionale ».
Richard Fox, analyste à l’agence « Fitch », note avec satisfaction « les perspectives très encourageantes pour Israël dues à la future exploitation des immenses gisements de gaz, qui vont réduire progressivement les pressions sur l’économie israélienne et la protégeront à l’avenir des fluctuations des prix des matières premières ». Fox précise toutefois « que les effets de cette exploitation ne sont pas encore comptabilisés dans la présente modification de la notation ». Ce qui en clair signifie que lorsqu’Israël commencera à tirer les bénéfices de ces nouvelles ressources, la notation d’Israël sera à nouveau rehaussée et l’économie israélienne sera l’une des plus fortes et attrayantes du monde, avec les implications politiques que cela comporte.
Shraga Blum
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