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Toute l’équipe d’AshdodCafé vous souhaite «Shabbat Shalom», date, horaires, paracha

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Parashath shelah lekha 5785 – vendredi 20 juin 2025 – 24 sivan 5785

HORAIRES DE SHABBAT :
NETANYA – 19h30 – 20h34
JÉRUSALEM – 19h07 – 20h31
HAÏFA – 19h31 – 20h35
EILAT – 19h23 – 20h25
ASHDOD – 19h29 – 20h33
BEER SHEVA – 19h27 – 20h31
PARIS – 21h39 – 23h04
MARSEILLE – 21h04- 22h17
LOS ANGELES – 19h49 – 20h52
MIAMI – 19h57 – 20h55
NEW YORK – 20h12 – 21h22
TEHERAN – 19h35 – 20h


En ces jours difficiles, ne soyons pas spectateurs – soyons unis, actifs, et confiants.

Alors que les missiles tombent, que nos soldats combattent, que nos familles courent vers les abris, notre force passe aussi par la prière.

Psaumes 20, 121 et 130 – trois prières simples, accessibles à tous, même sans livre. Trois voix pour dire à HaShem : Nous sommes là. Ensemble. Avec Toi.

Face aux menaces, notre devoir est aussi spirituel : prier, soutenir, s’unir.
L’histoire du peuple juif s’écrit dans les actes, dans la foi, dans la solidarité.
Nous ne fuyons pas. Nous choisissons d’être là, au cœur de notre destin.


Cette quatrième sidra du quatrième livre de la Torah s’ouvre sur une  question : pourquoi D conseille-t-Il à Moïse de choisir des personnes qui  vont être chargées de mission et de quelle mission s’agit-il ?

Une autre péricope comporte cette même tournure de phrase ou plutôt de  conseil, d’ordonnance : lekh lekha (va pour toi) a dit HaShem à Abraham  et ici, D dit à Moïse : Shelah lekha (envoie pour toi).

En français, cette sidra est intitulée les explorateurs et en hébreu il s’agit  d’espions ou meraguelim ( מרגלים du mot ,רגל pied ou quelqu’un qui va à  pied à des fins d’observer, d’épier et non pas comme un explorateur qui  va étudier les espèces humaines, animales ou végétales à des fins  scientifiques comme le ferait un explorateur mais bien comme un espion,  à des fins logistiques. Cependant : quelles sont les structures existantes,  qui sont ces habitants, et comment les combattre pour s’approprier le pays, par où pénétrer dans la contrée et Moïse alla même jusqu’à leur  demander de vérifier s’il y a des arbres. Et si l’on fait le total des mots de  Shelah lekha en guematria on obtient un total de 388 qui correspond au  mot חפש dont le sens est chercher donc, la motivation de ces envoyés  était bien de chercher tout et rien : d’observer dans les moindres détails  ce qui se passait sur cette terre d’élection. Ce qu’ils ignoraient totalement  c’est que D avait suscité une mortalité telle que tous les habitants étaient  occupés à enterrer leurs morts de manière à ne pas s’apercevoir de  l’intrusion de ces douze hommes étrangers. Ce que voyant, nos  explorateurs décidèrent de rapporter ce fait en le transformant par une menace énorme : la terre engloutit ses habitants !!!!

Quelle a été la raison profonde de cette volonté d’envoyer ces chargés de  mission : peut-être était-ce pour que la peur, la crainte et la défiance de  ce peuple qui malgré tous les prodiges dont ils avaient été les témoins et  que D avait opérés pour eux, refusaient de Lui faire confiance et de se  jeter à l’eau comme l’avait fait Nahshon ben Aminadav en toute confiance,  sachant que D ne l’abandonnerait pas.

Les enfants d’Israël ne se sont pas dit : puisque D nous a faits sortir  d’Egypte et qu’Il a fait et opéré tant de miracles et de prodiges : nous ne  devons pas nous soucier de la façon dont il nous faudra agir pour  conquérir ce pays : D a un plan et nous en faisons partie donc : les choses  se feront en leur temps et d’après le plan divin qui nous concerne. Au lieu  de cela, ils ont eu peur de leur avenir : ils n’agissent plus comme au pied  du Sinaï où ils ont promis : naâssé venishmâ mais parce qu’ils n’ont pas  eu suffisamment de Emouna ils ne se sont pas fait violence et n’ont pas fait taire leur méfiance ; ils ne se sont pas reposés sur la Parole et la Promesse de D et c’est la raison pour laquelle il est écrit plus loin ויהי qui,  d’après les hazal, annonce toujours des choses négatives voire funestes,  car le vav conversif qui transforme le passé en futur ou le futur en passé  montre que les espions ont tiré un trait sur leur avenir pour retourner dans  leur passé ou, pour montrer qu’ils sont incapables de regarder vers  l’avenir. D leur distribuait tous les jours leur subsistance mais eux  restaient « bloqués » sur leur passé en se souvenant des mets qu’ils  mangeaient dans l’amertume. Ici, ils se sont demandé comment ils  allaient s’y prendre pour conquérir ce pays de Canaan qui, nous disent  les exégètes Canaan כנען fait allusion au caractère de ses habitants qui  sont prompts à se rendre : ils נכנעים ils se rendent facilement (les mêmes  lettres forment ces deux vocables).

Si les dix « explorateurs » qui ont médit avaient été remplis de crainte  d’HaShem et s’ils avaient éprouvé de la confiance en D, à l’annonce de la  promesse de recevoir ce pays comme terre de résidence, à l’instar de  ceux qui ont dit : « na’assé venishmâ », ils auraient dû dire : c’est  merveilleux, nous recevons ce pays avec amour mais ils ont hésité, ils  ont éprouvé des craintes pour leurs propres intérêts….

Lorsqu’il est écrit shelah lekha, les commentateurs nous expliquent ici le  sens caché par ce mot lekha c’est-à-dire, disent-ils D n’a pas enjoint  réellement Moïse de prendre un responsable par tribu et de les envoyer  en terre de Canaan, mais au contraire, les choses se sont passées  différemment : le peuple, manquant de confiance, inquiet de savoir ce que  leur réserve ce pays désire charger de mission des personnes qui,  jusqu’alors étaient dignes de leur confiance : le président de chaque tribu  puisque le pays de Canaan devait être partagé entre les douze tribus il  apparut donc logique que chaque tribu délègue un envoyé. Il semble, que  la peur de l’inconnu et l’aveu inconscient de leur peur de la guerre les  aient poussés à calomnier le pays et à personnifier cette terre qu’ils  accusent de dévorer ses habitants : pour éviter que les Cananéens ne se  préoccupent de la présence de ces voyageurs D suscita une épidémie ce  qui provoqua un mouvement de foule dans les cimetières. D’où cette  expression de la Terre qui dévore ses habitants. D’autre part, le fait que  la terre produise des fruits extraordinairement beaux et gros, au lieu d’encourager la population qui aurait pu interpréter ce fait en prodige et  l’accueillir en miracle, les terrorise……………………… et c’est en cela que  réside la faute des explorateurs ils ont dédaigné et méprisé mais aussi  calomnié le présent que D a fait à Son peuple, ils ont habillé d’opprobre  cette terre.

Les Sages font remarquer que sur le plan chronologique cette péricope  est placée entre deux épisodes qui ont eu lieu avant l’envoi des explorateurs. En effet, l’incident de Korah a eu lieu le 22 sivan de la  deuxième année après la sortie d’Egypte alors que l’envoi des  explorateurs a pris place le 29 sivan, une semaine après la révolte de  Korah. Pourquoi, en ce cas, se demandent les exégètes, la sidra des  explorateurs précède-t-elle celle de Korah ? La réponse est que dans la  parasha de BeHaâlotekha à la fin de laquelle est évoquée la faute de  Myriam qui a déblatéré sur son éminent frère traite de médisance et que  celle-ci traite également de médisance mais d’un aspect différent puisque  la première concerne un être et la présente d’Eretz Israël personnifiée.  Ainsi cette lecture et la précédente sont-elles liées.

Analyse :

kol (כל מה שהקב »ה ברא בעולמו אלא לכבודו : Avoth Pirké les dans écrit est Il ma shéHaKadosh baroukh Hou bara béôlamo ela likhvodo) c’est-à-dire :  Tout ce que le Saint béni soit-IL a créé dans Son univers l’a été pour Sa  gloire. En conséquence tout ce qui a été créé sur la Terre, comme au ciel,  absolument tout : les anges, les astres, la flore, la faune, le règne animal  tout comme le genre humain tout, a été créé par D et tout témoigne de la  Grandeur et de la Suprématie de D. IL a voulu créer le monde dans lequel  l’humanité évolue pour que l’homme rende grâce au Créateur en tous  points.

HaShem a créé l’homme et, parmi eux, Moïse a été distingué comme  « Homme de D » (Psaume 90 : האלוקים איש למשה תפילה Prière de Moïse,  homme de D). Moïse ayant été le seul homme à avoir pu parler face-à-face  avec D, à être mort dans un « baiser » de HaShem, dire du mal de Moïse est  en quelque sorte une atteinte au Tout Puissant.

Selon, une autre dimension : le Créateur a jeté Son dévolu sur une petite  « langue de terre » qui est le nombril de la terre avec pour point central  Jérusalem et le sommet de ce point central étant le Mont Moria lieu  d’élection s’il en est puisque c’est là qu’eut lieu la ligature d’Isaac et c’est  là que Salomon érigea le Temple de Jérusalem, et ce Mont devint le Mont  du Temple.

Lorsque D désigna ce pays comme destination finale des pérégrinations  du peuple sorti de l’esclavage d’Egypte, IL employa des termes  promettant la prospérité à tous les niveaux, le bonheur et la tranquillité.  Lorsqu’HaShem S’adressa à Moïse en lui disant : Envoie (1) des personnes  que tu choisiras par toi-même. De manière à éviter les luttes de personnalité, de prestige et autres, Moïse envoya un émissaire issu de  chacune des douze tribus (2). Il n’avait pas pris en considération le fait que chacun de ces douze envoyés sauf Caleb (3) et Yéhoshouâ (4), verrait d’un  mauvais œil d’être départi de ses fonctions en entrant dans ce pays et,  dès lors, ils voulurent gagner du temps pour continuer à faire partie de  l’élite du peuple en ce cas, quoi de mieux que de dire du mal de ce pays  et de ses habitants ? Comme l’enseigne l’adage populaire : « salissez,  salissez il en restera toujours quelque chose. La faute de dix des  émissaires fut composée de plusieurs fautes en même temps :

1- Au lieu de se reposer sur leur émouna et sur leur expérience (5), ils  perdirent pied totalement devant les géants qu’ils virent à Kyriat  Arba (6) et, de par les descriptions qu’ils firent, le peuple fut saisi  d’effroi. C’est ainsi, qu’ils se plaignirent et gémirent toute la nuit du  9 av et que D les menaça d’avoir sujet de plaintes et de  pleurnichements.7

2- Au lieu de vanter les qualités exceptionnelles de rendement  agricole de cette terre et même du menu bétail qui donnait tant de  lait qu’il n’était même pas utile de les traire, le lait ruisselant de lui même, ils rendirent les preuves détestables ! Les commentateurs  se penchèrent sur de simples calculs : la grappe de raisins qu’ils  apportèrent et qu’ils déplacèrent à 8 pesait 960 séa soit l’équivalent  de 13 tonnes ! ce qui tendrait à prouver qu’eux-mêmes n’étaient  pas des « sauterelles8 » puisque leur capacité à porter des fardeaux  était de l’ordre de plus d’une tonne et demie chacun!

3- La plus grande des fautes fut de mettre en doute la Toute  Puissance de D en proférant que : « …בארץ הישב העם עז-כי אפס « Ce  mot « efess9 » qui signifie zéro transmet, ici, une condition et en  même temps un manquement très grave, une faute dans le  caractère de la mission qui leur a été confiée ! En effet, il leur avait été demandé d’aller et d’observer et puis alors de raconter mais, ils  ne devaient à aucun moment transmettre une opinion. Il était donc  de leur devoir de faire un rapport en bonne et due forme sans  émettre d’opinion ou de sentiment personnel. Cette faute fut donc  d’une portée tragique, car, non seulement le peuple mit en doute  les promesses de D mais encore Ses capacités à défendre Son  peuple contre toutes sortes de créatures ; et, de plus, D a donné  aux explorateurs un délai de 40 jours pour qu’ils reviennent sur  leurs déclarations car s’ils avaient fait teshouva, la faute aurait pu  leur être pardonnée, mais, au contraire, ils persévérèrent dans leur  erreur. Le Midrash raconte, que la langue des dix explorateurs  faiseurs de médisance soudain s’étira jusqu’à leur nombril et leur  langue s’infectait pour leur faire comprendre qu’ils avaient fait du  « lashon harâ » (mauvaise langue à propos du pays) et jusqu’au  nombril car Israël est considéré comme le nombril du monde !

4- Si D, à plusieurs reprises, a su pardonner au peuple tous les  manquements dont il s’est rendu coupable, l’Eternel ne peut  pardonner l’insulte faite à la terre d’Israël10 ils auraient dû en  conséquence revenir sur leurs propos et faire acte de contrition, et  reconnaître leurs erreurs. En l’absence de ce regret exprimé  sincèrement, la sanction fut douloureuse : chaque 9 beav pendant  39 ans, chacun creusait sa tombe et s’y couchait et le lendemain,  15,000 d’entre eux ne se relevaient point (11).

Lorsque Myriam a fait de la médisance (lashon harâ) sur son frère, elle a  été frappée de lèpre et, dans la guemara sont évoquées les différentes  sanctions encourues pour la médisance mais jamais il n’est question de  mort, même si l’on considère que dire de vilaines choses contre Moïse  ou contre le pays sont en elles-mêmes des atteintes à D Lui-même ! Elles  sont d’autant plus importantes qu’elles mettent en relief un orgueil  débordant : celui qui médit ne veut pas se mettre en défaut en proférant  la vérité sur sa propre personne : je ne peux pas, je ne suis pas capable,  j’ai peur …. Non, la personne orgueilleuse préfère faire endosser le  manquement à un tiers Erets Israël, en l’occurrence!

Dans le Talmud sont évoqués (surtout dans les traités de Taânit et de  Yoma) les différents jeûnes qui sont observés dans l’année de manière  communautaire ou individuelle (privée) et, l’on retrouve un jeûne qui fait  partie du jeûne des tsadikim et qui a lieu le 17 eloul et qui se fait depuis  le matin jusqu’au soir : le jeûne des dix explorateurs et à ce stade on ne comprend plus car, si ces dix explorateurs qui ont mal exécuté leur  mission sont morts rentrent dans la catégorie citée par Shlomo  Hamelekh (XI-1) : רינה רשעים ובאבוד : lorsque les impies périssent, nous  sommes transportés de joie ! En ce cas, pourquoi faire un jeûne ? Et,  qu’en est-il de ce qu’écrit Shlomo, toujours (XXIV,17) תשמח אל איוביך בנפול

(ne te réjouis pas de la chute de ton ennemi). Il est évident que de  nombreuses pages seraient nécessaires pour répondre à une telle  question mais il est important de faire une différence entre un ennemi et  un impie, un ennemi peut être un ennemi personnel et sa chute peut ne  pas être mortelle au contraire, la « perte » de l’impie peut aller jusqu’à la  mort et, celle-ci peut être une délivrance au niveau national.

A ce stade, les Sages pensent que le jeûne du 17 eloul (dix explorateurs)  doit être considéré comme un avertissement au lashon harâ et surtout  qu’il serve d’avertissement contre le lashon harâ pour toutes les  générations et que personne ne trébuche sur cet écueil.

La faute des explorateurs d’avoir donné à mal interpréter les atouts du  pays et d’en extraire du mal est un HILOUL HASHEM (une profanation du  Nom divin) et s’il y a toujours une possibilité de plaider non coupable,  dans le cas d’un hiloul HaShem, il n’y a aucune possibilité de plaider  l’innocence, même quelqu’un qui passe sa vie à étudier, ne peut plaider  l’innocence dans ce domaine et c’est ainsi que tous ceux qui ne profèrent  que de belles paroles sur le pays, HaShem les ramènera sur cette terre le

הָ בִ יאִ י בָ נַי מֵ רָ חֹוק, ּובְ נֹותַ י מִ קְ צֵה הָ אָ רֶ ץ כֹּל הַ נִקְ רָ א בִ שְ מִ י, וְלִ כְ בֹודִ י בְ רָ אתִ יו: : venu temps .יְצַרְ תִ יו, אַ ף-עֲשִ יתִ יו

Ramène des pays lointains mes fils, et des confins de la terre mes filles,  tous ceux qui se réclament de mon nom, tous ceux que, pour ma gloire,  j’ai créés, formés, organisés (Isaïe XLIII, 6 et 7).

Dr Caroline Elisheva Rebouh PhD.
ד »ר קרולין אלישבע רבוה בן אבו

1- En hébreu : Shelah lekha signifie littéralement : envoie pour toi ce que les commentateurs expliquent  par : si tu le désires, envoie des gens que tu choisiras par toi-même. Pour Ma part, cela n’est pas utile  car, Je connais ce pays que Je vous donne en héritage.

2- La tribu des Léviim étant destinée au culte elle ne reçut aucune part du pays, et celle de Joseph fut  divisée en deux (les deux fils de Joseph : Ephraïm et Menashé).  

3- Epoux de Myriam, sœur de Moïse. 

4- Yéhoshouâ se nommait Hoshouâ et Moïse ajouta à son nom la lettre youd qui est l’insigne comme  la lettre ‘hé, du Nom divin. Ce même Yéhoshouâ qui succéda à Moïse et envoya à Jéricho des  explorateurs en la personne de Caleb et Pinhas, fils d’Eléazar et petit-fils d’Aharon frère de Moïse.

5- Ils furent tous témoins des dix plaies d’Egypte, et des différents prodiges qu’opéra pour eux le Saint  béni soit-IL 

6- Hébron fut dénommée « kyriat Arba » ou cité des 4 car y vivaient quatre géants issus de l’union de Néfilim (anges déchus) et de filles descendantes d’Adam. 

7- C’est ainsi que par la suite le 1er et le 2ème temple furent détruits à 9 beav et de même, les Juifs furent chassés d’Espagne en 1492 pour 9 beav,  la 1ère et la 2ème guerre mondiale furent déclarées un 9 beav etc. 

8- Les explorateurs s’étaient réfugiés dans les arbres et certains disent que les douze hommes s’étaient  réfugiés pour dormir sous l’écorce d’une demi grenade et, lorsqu’une jeune femme avait saisi l’écorce  entre ses mains elle crut que les douze explorateurs étaient des sauterelles. 

9- Le Rambam commente ainsi : en prononçant le mot « efess », les explorateurs nient toute  opportunité positive de bien vivre sur cette terre.

10- De même que pour Kippour, D pardonne les fautes que l’homme fait vis-à-vis de Lui, mais IL ne  peut pardonner à aucun moment les fautes vis-à-vis d’autrui. 

11- C’est la raison pour laquelle, la 39ème année, lorsque tous se relevèrent et croyant s’être trompés  dans leur compte, ils recommencèrent une semaine durant à dormir dans leur tombe et puis, voyant  que la lune était pleine, et qu’en conséquence la date était le 15 du mois lunaire. Ils se réjouirent donc  le jour de « tou beav ».

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