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Les liens de Macron avec le terrorisme : une complicité inacceptable qui bouleverse les fondements de la diplomatie de la République Française

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Des révélations qui constituent un scandale diplomatique majeur et qui illustre parfaitement les dérives de la politique étrangère française sous Emmanuel Macron.
Plusieurs éléments particulièrement préoccupants émergent de ces documents, témoignant d’une complaisance inacceptable envers le terrorisme qui ébranle les fondements mêmes de notre diplomatie républicaine.

La réunion, qui a eu lieu le 16 octobre 2020, s’est tenue entre le numéro 3 de la Direction générale de la sécurité extérieure de la France, et Mousa Abu Marzouk, membre senior du bureau politique du Hamas, ainsi que Khaled Mashaal.
Les Français ont initié la réunion, qui a été révélée dans un document trouvé par Tsahal à Gaza, selon le rapport.
Le document indiquait que le haut responsable français avait dit aux dirigeants du Hamas que Paris était mécontent de la façon dont les États-Unis géraient la question palestinienne.
« Je suis heureux de cette réunion », a déclaré le responsable. « Je suis ici après approbation du président Macron. Nous ne voulons pas parler seulement avec l’Autorité palestinienne, mais aussi avec vous. Nous, la France, sommes historiquement proches de la lutte palestinienne. »

Selon le rapport, les responsables du Hamas ont répondu : « Même si la communauté internationale soutient l’entité sioniste, soyez certains que nous les vaincrons. Cette terre est la nôtre, et notre résistance et notre révolution se poursuivent depuis plus de 100 ans, et nous continuerons jusqu’à la victoire. »

Le fait que la France ait pris l’initiative de ces contacts secrets avec une organisation terroriste reconnue révèle une rupture fondamentale avec les principes de la diplomatie occidentale. Que des représentants français aient pu exprimer leur « réjouissance » de rencontrer des dirigeants du Hamas et revendiquer une proximité « historique » avec le « combat palestinien » traduit une confusion dangereuse entre légitime aspiration nationale et terrorisme islamiste. L’absence rapportée de toute objection française face aux déclarations explicites du Hamas sur la destruction d’Israël constitue, une complicité morale inacceptable. Comment la France, patrie des droits de l’homme et héritière des Lumières, peut-elle demeurer silencieuse face à des propos génocidaires qui bafouent l’essence même de nos valeurs civilisationnelles ?

Ces contacts s’inscrivent par ailleurs dans une dérive géopolitique préoccupante où la France semble privilégier le Qatar et les mouvances islamistes au détriment de ses alliés traditionnels. La critique rapportée de la « gestion américaine » du dossier palestinien révèle une posture systématiquement anti-américaine qui affaiblit l’Occident face aux régimes autoritaires. Cette diplomatie parallèle avec le Hamas intervient dans un contexte où la France multiplie les gestes en faveur de la reconnaissance palestinienne, créant un précédent dangereux : négocier avec des terroristes légitime leurs méthodes et encourage d’autres groupes similaires dans leurs entreprises destructrices.

Au-delà des considérations diplomatiques, ces révélations soulèvent des questions sécuritaires cruciales pour l’avenir de notre nation. Comment justifier de tels contacts quand la France fait face à une menace terroriste islamiste persistante sur son territoire ? Cette complaisance diplomatique ne risque-t-elle pas d’être interprétée comme un encouragement par les réseaux jihadistes qui menacent quotidiennement nos concitoyens ? La proximité affichée avec le « combat palestinien » résonne particulièrement mal dans un pays où l’antisémitisme atteint des niveaux alarmants et où de nombreux citoyens français de confession juive s’interrogent légitimement sur leur avenir dans une République qui semble perdre ses repères.

Ces révélations illustrent enfin l’incohérence fondamentale d’une diplomatie française qui prétend défendre les droits de l’homme tout en dialoguant secrètement avec une organisation qui revendique l’usage de la terreur contre les populations civiles. Comment concilier les valeurs républicaines avec de telles pratiques qui bafouent l’éthique diplomatique la plus élémentaire ? Le déni officiel français, bien que prévisible, ne saurait dissiper les inquiétudes légitimes que suscite cette affaire. Ces documents révèlent une dérive majeure de la politique étrangère française qui privilégie l’idéologie au pragmatisme sécuritaire et aux alliances démocratiques. Cette affaire confirme ainsi les craintes sur une diplomatie française de plus en plus déconnectée des intérêts nationaux et des valeurs occidentales, au profit d’une vision tiers-mondiste obsolète et dangereuse qui compromet notre position sur l’échiquier international.

Pr Michaël Ayache
Business Development- Diplomacy and International Development- Professor
 -Communications Partnerships and Projets for Israel.

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