La capitulation intellectuelle de la France face à l’islamo-gauchisme : une trahison des valeurs occidentales , un déni systématique de ce nouveau antisémitisme et une dérive antisioniste de détestation de l’état d’Israel.
Le déni obstiné du ministre de l’Enseignement supérieur français concernant la réalité de l’islamo-gauchisme constitue l’une des preuves les plus accablantes de la déchéance intellectuelle et morale du régime Macron. Cette attitude complaisante, qui confine à la collaboration idéologique, démontre que l’administration française s’est transformée en idiot utile des régimes islamistes les plus rétrogrades de la planète. Face à cette capitulation sans précédent, une condamnation internationale s’impose avec la plus grande urgence.
L’islamo-gauchisme n’est pas une invention polémique de la droite, mais une réalité tangible et documentée, qui ronge les fondements de la République française. Cette alliance contre-nature entre des intellectuels de gauche dévoyés et l’islamisme radical représente aujourd’hui l’une des menaces les plus graves pour l’avenir du monde occidental. En refusant d’identifier clairement cet ennemi intérieur, le gouvernement français trahit non seulement ses propres citoyens, mais également l’ensemble de la civilisation démocratique.
Cette capitulation intellectuelle s’est accompagnée d’un phénomène encore plus révoltant : le déni systématique de l’antisémitisme qui gangrène la société française depuis trente ans. Pendant que les autorités françaises fermaient les yeux sur la montée de l’islamo-gauchisme, les citoyens juifs de France subissaient une vague d’attaques, d’agressions et de meurtres d’une ampleur inédite depuis la Seconde Guerre mondiale. De l’assassinat d’Ilan Halimi en 2006 aux massacres de Toulouse en 2012, de l’Hyper Cacher en 2015 jusqu’aux récentes agressions dans les rues de Paris, la communauté juive française vit sous la menace constante d’un antisémitisme décomplexé que les autorités persistent à minimiser.
Cette mutation idéologique révèle un phénomène d’une portée considérable : l’islamo-gauchisme a définitivement remplacé la lutte des classes traditionnelle pour se fondre dans une méthode woke et anticoloniale qui empoisonne l’université française. Les anciens marxistes ont troqué leur internationalisme prolétarien contre un tiers-mondisme délirant, qui fait des islamistes les nouveaux damnés de la Terre. Cette reconversion intellectuelle a transformé d’anciens révolutionnaires en partenaires complices de l’islamo-fascisme et du terrorisme panarabique.
L’analyse de cette dérive idéologique révèle une stratégie délibérée de destruction des valeurs occidentales. Les intellectuels de gauche, privés de leur base ouvrière traditionnelle, ont trouvé dans l’islamisme radical un nouveau prolétariat fantasmé. Cette alliance repose sur une haine commune de l’Occident, de ses valeurs démocratiques et de sa civilisation judéo-chrétienne. En présentant l’islamisme comme une résistance légitime à l’impérialisme occidental, ces intellectuels dévoyés légitiment les pires obscurantismes et cautionnent les crimes les plus abjects.
La transformation de l’université française en laboratoire de cette idéologie mortifère constitue un scandale d’État. Les amphithéâtres et les centres de recherche sont devenus des lieux d’endoctrinement, où se fabrique la haine de la France et de ses valeurs. Les étudiants, futurs cadres de la nation, sont systématiquement exposés à une propagande qui présente leur propre pays comme un État colonial, raciste et islamophobe. Cette manipulation intellectuelle de masse prépare une génération entière à accepter la soumission à l’islamisme radical.
Le déni gouvernemental face à cette réalité relève de la complicité objective avec l’ennemi. En refusant de reconnaître l’existence de l’islamo-gauchisme, le ministre de l’Enseignement supérieur et l’ensemble du gouvernement Macron se rendent complices d’une entreprise de destruction systématique des fondements républicains. Cette attitude pusillanime encourage les islamistes et leurs alliés gauchistes à poursuivre leur œuvre de sape, convaincus de bénéficier d’une impunité gouvernementale.
Cette complicité atteint son paroxysme dans l’abandon criminel des citoyens juifs de France. Trente années d’attaques antisémites n’ont jamais provoqué de sursaut républicain digne de ce nom. Pire encore, les autorités françaises ont systématiquement minimisé la dimension antisémite de ces crimes, préférant invoquer des motifs crapuleux ou des déséquilibres mentaux, plutôt que de reconnaître la réalité de l’antisémitisme islamiste. Cette lâcheté institutionnelle a encouragé les assassins et contraint des milliers de familles juives à l’exil, vidant la France de sa plus ancienne minorité.
L’infiltration islamiste des universités françaises ne se limite pas à la propagande idéologique. Elle s’accompagne d’un financement massif en provenance des régimes islamistes du Golfe et d’ailleurs. Ces pétrodollars corrompent la recherche française, orientent les programmes d’enseignement et créent des réseaux d’influence échappant totalement au contrôle démocratique. Le gouvernement français, par sa passivité coupable, facilite cette colonisation intellectuelle de son propre système éducatif.
La dimension internationale de cette menace exige une réaction coordonnée des démocraties occidentales. L’islamo-gauchisme français n’est pas un phénomène isolé, mais s’inscrit dans une stratégie globale de déstabilisation de l’Occident. Les mêmes méthodes, les mêmes financements et les mêmes objectifs se retrouvent dans les universités américaines, britanniques et européennes. Cette internationale de la haine anti-occidentale mérite une condamnation sans appel de la part de tous les pays attachés aux valeurs démocratiques.
La responsabilité historique du régime Macron dans cette dérive ne peut être minimisée. En cinq années de pouvoir, cette administration a systématiquement favorisé l’islamisme radical au détriment de la laïcité républicaine. De la complaisance envers les Frères musulmans aux subventions accordées aux associations islamistes, en passant par la tolérance à l’égard des revendications communautaristes, le bilan est accablant. Cette politique de soumission a encouragé l’islamo-gauchisme universitaire et lui a offert un terrain fertile pour son expansion.
Les dernières mesures antisionistes du gouvernement français constituent des trahisons impardonnables, révélatrices de la véritable nature de ce régime. Le boycott de l’industrie aéronautique israélienne, décidé sous la pression des lobbies islamo-gauchistes, marque un tournant historique dans la politique étrangère française. En s’attaquant à Israël, seule démocratie du Moyen-Orient et rempart de la civilisation occidentale face à la barbarie islamiste, le gouvernement Macron franchit une ligne rouge inacceptable. Ces mesures punitives contre l’État hébreu, prises au moment même où Israël combat le terrorisme du Hamas, constituent une complicité objective avec les forces du mal.
Cette politique antisioniste s’inscrit dans la continuité logique de l’abandon des citoyens juifs de France. Le même régime, qui prétend aujourd’hui donner des leçons de morale à Israël, persiste dans son hypocrisie révoltante. L’antisémitisme d’État, sous couvert d’antisionisme, est désormais la politique officielle de la France macronienne.
L’urgence de la situation impose des mesures drastiques. La France doit impérativement couper les financements étrangers de ses universités, expulser les prédicateurs islamistes déguisés en chercheurs, et sanctionner les enseignants qui propagent la haine anti-française. Ces mesures de salut public ne relèvent pas de l’autoritarisme, mais de la légitime défense démocratique face à une entreprise de subversion totalitaire.
L’avenir de la civilisation occidentale se joue dans les universités françaises. Si la France, pays des Lumières et berceau des droits de l’homme, capitule face à l’islamo-gauchisme, c’est l’ensemble du monde libre qui vacillera. Cette bataille idéologique déterminera si nos enfants hériteront d’une société démocratique et laïque ou d’un califat européen régi par la charia. Face à cette alternative tragique, la neutralité n’est plus possible : il faut choisir son camp dans cette guerre de civilisation.
La communauté internationale doit prendre conscience de la gravité de la situation française et agir en conséquence. Les démocraties occidentales ne peuvent plus fermer les yeux sur la trahison idéologique du régime Macron. Une condamnation ferme et des sanctions diplomatiques s’imposent pour contraindre la France à renouer avec ses valeurs républicaines.
L’islamo-gauchisme français menace non seulement la République, mais l’ensemble de la civilisation occidentale.
La France de Macron est devenue l’ennemie de ses propres alliés et la complice de leurs bourreaux. En abandonnant Israël et en livrant ses citoyens juifs à la vindicte islamiste, elle s’exclut de facto de la famille des nations démocratiques.
Cette trahison historique exige une réponse à la hauteur de l’enjeu : l’isolement diplomatique et économique de la France tant qu’elle persistera dans cette voie suicidaire.
Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard — et que la France n’entraîne l’ensemble de l’Occident dans sa chute.
Pr Michaël Ayache
Business Development- Diplomacy and International Development- Professor -Communications Partnerships and Projets for Israel.
Ashdodcafe.com
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