Le président Donald Trump a pris une décision courageuse et nécessaire en annonçant mardi 22 juillet 2025 le retrait définitif des États-Unis de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco). Cette mesure salutaire marque la troisième fois que l’Amérique refuse de cautionner les dérives idéologiques de cette organisation parisienne devenue l’instrument de propagandes hostiles aux valeurs occidentales.

L’administration Trump a parfaitement identifié le poison qui gangrène l’Unesco : son antisémitisme institutionnel déguisé en soutien palestinien. La porte-parole du département d’État, Tammy Bruce, a eu raison de déclarer sans ambages que « la poursuite de la participation des États-Unis à l’Unesco n’est pas dans l’intérêt national ». Comment tolérer plus longtemps qu’une organisation internationale finance par les contribuables américains s’acharne à délégitimer Israël, seule démocratie du Proche-Orient ? La transformation scandaleuse de sites saints juifs millénaires en « patrimoine mondial palestinien », l’usage systématique du terme « occupation israélienne » dans les documents officiels, et la condamnation systématique d’Israël face au terrorisme du Hamas révèlent une partialité idéologique inacceptable.

Plus grave encore, l’Unesco s’est transformée en laboratoire de l’idéologie progressiste la plus toxique. Anna Kelly, porte-parole adjointe de la Maison-Blanche, a justement dénoncé cette organisation qui « soutient des causes culturelles et sociales ‘woke’ et clivantes, en total décalage avec les politiques de bon sens pour lesquelles les Américains ont voté en novembre ». Les politiques de discrimination positive rebaptisées « diversité, équité et inclusion », le prétendu « Guide de lutte contre le racisme » qui culpabilise l’Occident, et l’initiative « Transforming MEN’talities » qui s’attaque à la masculinité traditionnelle constituent autant d’agressions contre les fondements de la civilisation occidentale.

L’infiltration chinoise au cœur de l’Unesco révèle également l’hypocrisie de cette institution prétendument universelle. Pékin, deuxième contributeur financier, y place ses agents aux postes stratégiques pour mieux diffuser sa vision autoritaire du monde. Face à cette offensive, Trump a eu la clairvoyance d’ordonner dès février 2025 une évaluation rigoureuse de la participation américaine, concentrée sur « tout sentiment antisémite ou anti-israélien au sein de l’organisation ». Les conclusions étaient prévisibles : l’Unesco est devenue un repaire d’ennemis de l’Amérique et d’Israël.

Cette décision s’inscrit dans la lignée des présidents républicains lucides. Ronald Reagan avait déjà eu le courage de quitter cette organisation en 1984 face à sa « politisation à la sauce soviétique ». Trump avait initié un premier retrait salvateur en 2017, malheureusement annulé par l’administration Biden en 2023 dans un moment d’aveuglement diplomatique. Le retrait définitif, effectif au 31 décembre 2026, corrige cette erreur et rend à l’Amérique sa dignité.

Contrairement aux prédictions alarmistes, l’Unesco survivra parfaitement sans les 8% du budget américain, preuve que cette contribution n’était qu’un chantage moral exercé contre les États-Unis. D’autres nations complaisantes compenseront volontiers pour maintenir cette machine à propagande anti-occidentale.

Cette rupture salutaire incarne parfaitement la doctrine « America First » : les États-Unis n’ont aucune obligation de financer des organisations qui les combattent. Trump remet l’Amérique au centre de sa politique étrangère, refusant le masochisme diplomatique qui consiste à subventionner ses propres détracteurs. Cette décision courageuse restaure la souveraineté américaine face aux diktats du multilatéralisme progressiste.

Pr Michaël Ayache
Business Development- Diplomacy and International Development- Professor
 -Communications Partnerships and Projets for Israel.

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