ASHDOD – TEL AVIV 19h17 – 20h17
JÉRUSALEM – 18h55 – 20h15
NETANYA – 19h18 – 20h18
Chers Amis,
Paracha Dévarim – Un appel à la lucidité et à la transmission
Moïse ouvre le Deutéronome par un discours fort et émouvant, revenant sur les erreurs du peuple dans le désert. Il ne s’agit pas d’un reproche, mais d’un rappel salutaire : on ne construit pas un avenir solide sans tirer les leçons du passé.
Cette paracha nous enseigne :
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L’importance de la mémoire collective pour éviter de répéter les fautes,
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La nécessité de diriger avec humilité et responsabilité,
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Le pouvoir de la parole juste et constructive,
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Le courage de croire en l’avenir, même face à l’incertitude,
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Et enfin, l’urgence de transmettre les valeurs à la génération suivante.
Un message puissant à l’approche de Ticha BéAv : pour mériter la terre d’Israël, il faut lucidité, engagement, et foi en notre mission collective.
CORRIGER SES ERREURS
Le Deutéronome ou Devarim en hébreu, cinquième livre du Pentateuque est un livre dans lequel sont rassemblées toutes les remontrances que Moïse adresse au peuple d’Israël.
Cette péricope est toujours lue avant le jeûne de 9 beav (1)
Dans la parasha précédente – Mass’ey – furent énumérées toutes les étapes qui ont jalonné les 40 ans de pérégrinations dans le désert. La majeure partie des noms de ces étapes comportaient une allusion à la conduite du peuple vis-à-vis d’HaShem ainsi « kivroth hataava » fut l’étape où les bené Israël ont réclamé de la viande et ont été gavés de cailles ou les « Mey Meriba » où il y eut cette querelle à propos de l’eau et bien d’autres encore. Ici encore, dans les premiers versets de « DEVARIM »,
Rashi, relève des allusions sur la faute des explorateurs et les murmures de mécontentement contre la manne dans le verset 2 :
בַּ מִּ דְ בָּ ר בָּ עֲרָּ בָּ ה מֹול סּוף בֵּ ין-פָּ ארָּ ן ּובֵּ ין-ת פֶ ל, וְלָּ בָּ ן וַּחֲ צֵּר ת–וְדִּ י זָּהָּ ב
Dans la plaine désertique, face à Souf, entre Paran’ et Tofel, Lavan, Hatsérot et Di Zahav.
En effet, le camp des tribus d’Israël se trouvait à Paran’ lorsque furent envoyés les explorateurs. C’est encore en ce lieu que les enfants d’Israël se récrièrent et pleurnichèrent en entendant le récit de ceux qui revinrent de leur « voyage d’études » et en dressèrent une esquisse terrifiante pour tous ceux qui préféraient garder les yeux fixés sur leur passé sans accorder confiance au D d’Israël.
Quant à Tofel, le Sage de Troyes, trace un parallèle avec la manne distribuée généreusement et qui, miraculeusement prenait le goût de ce que l’homme pouvait imaginer mais qu’eux, qui avaient été témoins de tant de prodiges, traitaient par le mépris. Tafel est un mot hébraïque qui signifie fade, sans saveur. Pour ce Sage, les allusions sont claires et, il y reviendra un peu plus loin lorsque les Bené Israël ne recevront pas la réprimande de Moïse mais, au contraire, s’exclameront en prétextant que D les a fait sortir d’Egypte parce que le Créateur les hait.
Moïse savait qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre, s’appliqua à prononcer son discours de réprimande en 70 langues de manière à ce que le monde entier soit témoin de ces paroles puis, il s’adressa à tout son entourage pour les encourager à poser des questions si des points de halakha n’étaient pas clairs ; cependant, tous certifièrent que tout était clair mais, au lendemain de la disparition du jeune fils d’Amram et Yokhéved, beaucoup de points de détails disparurent à jamais car, ils n’avaient pas posé de question……..
Il existe un autre très célèbre commentaire sur la Torah intitulé le Kli Yakar (2) qui, sur cette sidra statue que Tofel est plutôt en rapport avec la faute du veau d’or car, précise-t-il, Paran’ était en rapport avec 9 beav (3), tandis que la faute du veau d’or eut lieu un 17 tamouz ! Ainsi, Rabbi Shlomo Ephraïm de Lounshitz tisse un lien entre ces deux fautes du peuple : le veau d’or expression du manque de confiance et d’assurance en D et, la faute des explorateurs qui fut, elle aussi un manque catastrophique d’assurance en la promesse divine !
Or, lors de la bataille contre Amalek, qui fut une preuve irréfutable de la force d’Israël et du soutien divin, la confiance, la foi totale en HaShem et l’Unité du peuple (ahdout) (4) s’exprimèrent clairement.
C’est à cause de cette adhésion totale en HaShem et à cette fusion totale et nationale qu’Israël gagne ses guerres et ceci est vérifiable jusqu’à aujourd’hui.
La prière que chacun adresse à D est une sorte de « laissez-passer » ou, mieux, de pièce d’identité : lorsque naît un bébé dans le peuple juif son âme est connue et « enregistrée » et le moyen qu’elle a de se faire reconnaître de son Créateur est le tefila ou prière. Lorsque le Juif adhère de toute son âme au Saint béni soit-IL, qu’il prie et applique les préceptes contenus dans la Torah, HaShem « reconnaît » son enfant et IL « maintient le contact » avec lui. Car, dans le mot tefila on retrouve les lettres qui désigne la mèche qui est contenue dans la bougie/veilleuse (petila) et donc cette mèche représente l’âme juive qui illumine le corps humain comparé à une lumière. Ainsi, la prière (tefila) est au corps ce que la petila est à la veilleuse !!!
La Tradition juive conseille, en suivant cet exemple, lorsque l’on veut adresser des remarques à quelqu’un de les enrober de compliments ou d’appréciations de manière à éviter de blesser l’ego de l’interlocuteur. La force de ce premier « discours » réside dans le fait que Moïse met en exergue le fait que l’union du peuple est le ciment qui rendra cette assemblée indestructible face aux ennemis jurés des Hébreux.
Cette section de la Torah est donc toujours lue le shabbat précédant le jeûne de Tishâ beav, et ce shabbat porte également un nom spécial : « shabbat Hazon » en raison du nom de la haftara lue ce jour-là. Ce mot : HAZON signifie vision ou perspective en l’occurrence, ce passage des prophéties d’Isaïe dévoile ce qui attend le peuple Juif lorsqu’il ne suit pas strictement les lois de la Torah.
Voir Son peuple uni Lui (HaShem) procure une satisfaction immense. Le Midrash donne l’illustration suivante : n’importe qui peut cueillir un épi et le briser mais lorsque tous les épis sont liés ensemble personne ne peut détruire toute la gerbe.
En se désolidarisant et en perdant son contact avec HaShem, en perdant surtout sa foi en HaShem lorsqu’il a été déclamé « voici tes dieux Israël » que le peuple a perdu son identité.
Mais, il nous faut retenir une leçon de l’histoire pour pouvoir nous reconstruire et bénéficier de la reconstruction du Troisième Temple : le premier temple construit par Salomon fut détruit par Nabuchodonosor faisant tomber le peuple en exil aux mains de Babel à cause des trois fautes pour lesquelles D nous mit toujours en garde : l’idolâtrie (chose courante au royaume d’Israël), verser le sang et les relations sexuelles incestueuses. Néanmoins, UNE SEULE faute fut la cause de la destruction du 2ème temple : la HAINE GRATUITE qui, pesa aussi lourd que les trois fautes précédentes sur la balance de l’accusation d’Israël.
Lorsqu’un quidam ne veut pas reconnaître ses fautes, il rejettera ses torts sur quelqu’un d’autre. C’est pourquoi, dit Rashi, le peuple s’écria que si les choses en sont arrivées à ce point c’est parce que l’Eternel les hait ! L’illustre exégète se répand en questions-réponses en énumérant les faits : le peuple dit : pourquoi nous a-t-IL fait sortir d’Egypte dont la terre est si fertile et nous a-t-IL entraînés dans le désert et une terre aride ? C’est parce que D a besoin et désire entendre Ses enfants demander. Pourquoi vous plaignez-vous, l’Eternel S’est soucié de vos moyens de subsistance pendant 40 ans, de votre confort : toute la route a été « confortable », IL vous protégés du soleil et de la chaleur, des serpents et des scorpions, des maladies, IL vous a donné des moyens de transporter vos richesses, des vêtements inusables et toujours propres, qui s’adaptaient aux transformations de votre corps. Sur le chemin un vent agréable soufflait pour vous rafraîchir agrémenté d’effluves de plantes aromatiques, pensez-vous que si HaShem vous haïssait IL vous aurait comblés ainsi de bienfaits ? Au contraire, vous, n’avez pas cessé de geindre, de vous plaindre, de maugréer. Vous avez tout le temps été grincheux. HaShem a fait des miracles et des prodiges, pour vous permettre de vous abreuver et d’étancher votre soif. Sont-ce là des marques de haine ? Comment avez-vous rendu grâce ?
La haine gratuite jalonne notre histoire : n’y a-t-il pas eu de haine entre Ishmaël et Isaac ? Oui mais, Ishmaël n’a pas porté le nom d’Abraham c’est Isaac qui l’a porté !
N’y a-t-il pas eu de haine entre Esaü et Jacob ? Et entre Joseph et ses frères ? Oui mais…
Je vous propose de jeter en parallèle un coup d’œil sur les 4 royaumes auxquels le peuple juif a été assujetti : Babel, Maday (Perses), Grecs et les Romains.
Babel se révoltait contre HaShem, ils multipliaient les guerres (sang versé), les idoles et les crimes sexuels : Le peuple a été exilé chez eux et les Perses qui avaient les mêmes travers, pour corriger ses penchants.
Le Rav Dessler écrivit que Jacob haïssait son frère Esaü et c’est la raison nous avons été exilés chez Edom pour que le peuple juif comprenne qu’il n’est pas bon de haïr et on nous y a haï.
La prière a un pouvoir immense dans nos rapports avec D mais aussi avec nos rapports entre humains et évidemment d’abord et avant tout sur nous-mêmes.
Dès le début de cette péricope, Moïse va dresser un tableau très positif de la situation devant laquelle se trouve le peuple ici rassemblé pour cette dernière « étape » avant l’entrée dans le pays que D a décidé de donner à ce peuple qui a traversé la Mer Rouge et le désert avec toutes les épreuves qui ont jalonné ces quarante années de pérégrinations. Souvent le discours du prophète sera rempli de réprimandes ou de mises en garde.
Voici donc que Moïse s’apprête à montrer à cette assemblée que l’une des premières bénédictions et promesses faites à Abraham auquel D promit une descendance aussi nombreuse que les étoiles du ciel s’est réalisée : Moïse leur dit : Voyez ! Vous êtes devenus aussi nombreux que les étoiles du ciel ! Cette bénédiction rejoint aussi celle que Jacob avait faite à ses enfants et ses petits-enfants lorsqu’il leur dit » רע מכל אותי הגואל המלאך
יברך את הנערים ויקרא בהם שמי ושם אבותי אברהם ויצחק וידגו לרוב בקרב הארץ » c’est-à-dire : » ‘hamal’akh ‘hagoël oti mikol râ yevarekh eth ‘haneârim veyekaré ba’hem shemi veshem avotay Avra’ham veYitshak veyidegou larov bekérèv ‘haaretz » 5.
Quel est donc le rapport entre le commandement que D a donné à l’homme lors de sa création : croissez et multipliez ou ורבו פרו) prou ourebou) et la bénédiction faite à Abraham d’être aussi nombreux que les étoiles du ciel ou encore d’être aussi nombreux que les poissons de la mer ?
Les Hazal (Hakhamim du Talmud de mémoire bénie) font ce rapprochement de manière très simple et très schématique d’après ce qu’ils enseignent dans les traités talmudiques de Yébamoth, de Ketouboth et même de Sanhédrin : dans le traité de Ketouboth 2a nous Une » בתולה נישאת ביום הרביעי ואלמנה ביום החמישי » : postulat un trouvons jeune fille vierge se mariera un mercredi et la veuve un jeudi. La question va se poser de savoir pourquoi en serait-il ainsi pourquoi le jour des noces ne peut-il être indifférent ?
Les raisons sont assez simples à saisir. En effet : D a créé les poissons le cinquième jour soit un jeudi et Il les a bénis en leur donnant une fonction très à l’abri du regard : se multiplier et fructifier dans l’eau. C’est pourquoi, pour protéger les secrets contenus dans l’union d’un homme et d’une fille vierge il est conseillé de célébrer cette union un mercredi afin qu’au cours de l’union véritable de cet homme et de cette fille, la transformation de la jeune-fille en femme aura lieu et, la femme deviendra un « keli » un outil qui va servir de « moule » ou d’emporte-pièce, aux futures générations et cette union va réunir les conditions de la création où l’homme et la femme ont été créés ensemble. De même que les Sages font remarquer que les 4 femmes de Jacob ont formé le « creuset »6 dans lequel a été conçu le peuple. En se mariant dans la nuit de mercredi à Jeudi, la jeune-femme va recevoir la bénédiction de se multiplier comme des poissons alors que lorsque la veuve ou la divorcée se marie dans la nuit du jeudi au vendredi, la bénédiction va reposer sur l’homme auquel est attaché le commandement de se multiplier.
Dans les parashioth précédentes, nous avons compris que l’importance du livre de Bamidbar reposait sur la parole mais, dans devarim bien qu’il s’agisse aussi de paroles il va s’agir d’écouter ישראל שמע Ecoute Israël, écoute ces paroles que D t’adresse et, tente de te conduire en épouse fidèle et aimante lorsque D t’enjoins de faire certaines choses qui peuvent ne pas être comprises par l’homme.
Nos Sages ont aussi fait une différence entre les deux vocables d-b-r et alef-mem-resh. Le premier, d-b-r est composé de consonnes dures, abruptes, coupantes en revanche, le second vocable est composé de lettres labiales, plus souples, et donc le verbe « daber » est plus sévère, plus rigoureux, plus rude que le second plus empreint de rahamim, miséricorde.
La langue poétique mais aussi l’enseignement cabalistique nous a montré que la parabole est la suivante : HaShem est l’Epoux et le Peuple d’Israël est l’Epousée, et, la Torah est la Ketouba.
Israël doit se reprendre, faire teshouva pour tenir son rôle de Femme vertueuse telle qu’elle apparaît dans les poèmes allégoriques du Cantique des Cantiques ou des Proverbes.
Le peuple est sorti d’Egypte et il ne tient qu’à lui de rester solide et uni face aux nations qui guettent le moindre faux-pas. Si le peuple est fidèle aux prescriptions de la Torah tout ira bien, sinon…………. Le Rav Dessler fait la lumière sur les deux destructions du Temple qui ont eu lieu : Le Temple construit par Salomon a été détruit en -586 par Nabuchodonosor pour trois raisons qui, à elles seules, enflamment la colère divine : l’idolâtrie (avoda zara), les meurtres gratuits (shefikhout damim) et les relations sexuelles interdites (guilouy ârayot עריות גילוי(. Ces trois infractions vis-à-vis de D suffisent en elles-mêmes à exaspérer D et à provoquer des exils, des famines etc….. Cependant, le Temple n’a été détruit qu’en partie et ses fondations ont été épargnées mais, le peuple revenu sur ses terres après son exil à Babel, l’absence de résidence divine sur la terre des hommes n’a été longue que de 70 ans !!
La différence entre cette destruction et celle qui eut lieu par Titus plus de 500 ans après est énorme : ce qui a entraîné ce « séisme spirituel » est que la faute qui entraîna ceci fut la Haine Gratuite (sin’at hinam חינם שינאת ( laquelle n’était pas vis-à-vis du Créateur mais, vis-à-vis des humains ignorant le commandement de ne pas haïr notre frère en notre cœur. La sanction fut terrible étant donné que dans cette destruction même les fondations du Temple ont été touchées et que plus de 1940 ans après, la haine existe toujours empêchant la reconstruction et, ce qui est tout au moins aussi grave sinon plus grave, nous n’essayons pas d’établir avec le Maître du Monde pour Lui signifier que nous en avons assez de ne pas voir Sa résidence parmi nous et réclamer qu’IL mette fin à cette situation car nous désirons ardemment Le voir résider parmi nous Maintenant.
Le Rav Dessler fait ressortir encore deux points pour lesquels l’exil de Nabuchodonosor a envoyé les enfants d’Israël en Babylonie et celui de Titus à Rome et ailleurs. C’est que, écrit-il, les trois fautes qui sont à l’origine de l’exil de Babel sont les fautes caractéristiques des peuples de l’Asie Mineure.
Les Juifs sortis d’Egypte ont, par leur conduite lors de la faute du veau d’or et des explorateurs et de leurs récriminations diverses sectionné le lien qui les reliait à D en proclamant que le veau était désormais une divinité et en accusant (kiveyakhol) D de les avoir affranchis de l’esclavage parce qu’IL les haïssait ! Et Moïse répond ironiquement aux allégations du « erev rav ou tourbe nombreuse » qui avançait : c’est parce qu’IL nous a haï qu’ils nous a fait venir dans ce désert et donc Moïse leur répondit : c’est parce qu’IL vous hait qu’IL vous a donné la manne pendant 40 ans, de l’eau (avec le puits de Myriam) pendant 40 ans, que vous avez marché à l’ombre et dans la fraîcheur et sans serpents sans scorpions pendant 40 ans, que vous n’avez eu aucun besoin ni en vêtements ni en quoi que ce soit pendant tout ce temps ? Mais ils n’ont pas su apprécier !!!
Quant à Titus, voici l’explication du Rav Dessler : ESSAV et EDOM sont les mêmes. Essav a fait une mitsva très importante : le respect dû aux parents (kiboud av vaem). Néanmoins, il nourrissait en son cœur de sombres desseins pour assouvir sa haine vouée à son frère.
Ainsi, Essav montre un visage ou une apparence extérieure accueillante alors que l’intérieur (ses pensées et sa façon de vivre) est pourri. L’occident par exemple est attirant son visage extérieur est beau mais ses pensées vis-à-vis des Juifs ne sont pas si nettes. Et l’occident poursuit son œuvre destructrice en continuant à détourner l’attention des enfants d’Israël du réel objet de son amour.
1 – En Algérie, 9 beav était connu sous le nom de « teshâbeb » ou bien sous la désignation « du couteau à la mer »
2 – Rabbi Shlomo Ephraïm méLounschitz 1540 à Lounschitz en Pologne- 1619 à Prague
3 – Etant donné que le retour des explorateurs se fit à la veille du 9 av et que, devant les pleurs et les gémissements du peuple, HaShem avait promis qu’IL fournirait chaque année à ce peuple rebelle une occasion de se désoler à pareille date : 9 av !
4 – Un en hébreu se dit EHAD (comme le dernier mot de la profession de foi juive : « Shémâ Israël HaShem Elokénou, HaShem EHAD ») et le fait d’être ensemble et de ne former qu’une seule entité est AHDOUT
5 – Il s’agit de versets tirés du livre de la Genèse qui constitue la bénédiction donnée par Jacob à ses petits-enfants, les fils de Joseph, bénédiction où le patriarche leur promet qu’ils vont croître et multiplier comme les poissons de la mer.
6 – le mot « ברזל « est formé des initiales des 4 femmes de Jacob : Bil’ha, Rahel, Zilpa et Léa.
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