PARACHA EKEV 5785 – VENDREDI 15 AOÛT 2025, 21 AV 5785

HORAIRES DE SHABBAT – EKEV
NETANYA – 19h04 – 20h03
JÉRUSALEM – 18h42 – 20h00
HAÏFA – 19h05 – 20h03
EILAT – 19h00 – 19h57
ASHDOD – TEL AVIV -19h04 – 20h03
BEER SHEVA – 19h03 – 20h01
PARIS – 20h47 – 21h57
MARSEILLE – 20h23- 21h26
LOS ANGELES – 19h21 – 20h18
MIAMI – 19h38 – 20h31
NEW YORK – 19h35 – 20h36


Ce petit mot hébraïque de trois lettres qu’est le vocable Akev עקב a retenu  l’attention de pratiquement tous les exégètes car il peut être traduit de  différentes façons. 

Le mot akev signifie talon. En changeant les voyelles et en prononçant « ekev »  la signification change et devient différente cela peut signifier « à cause de » ou  cela peut signifier « en raison de » ainsi, à cet endroit, la phrase signifie que si le  peuple respecte les lois, ‘mishpatim’, en compensation, le peuple, recevra une  récompense.  

Akev désignant le talon soit l’extrémité de notre corps, propose ainsi une  allusion, si vous gardez les lois, au bout du compte, vous recevrez une  gratification. 

Dans ce contexte précis, ce vocable pourrait signifier : bien que ces mitsvoth  suivent les précédentes (okevot = talonner). 

Ces mots sont liés par le fait que le talon laisse une empreinte. Les traces  peuvent montrer le cheminement tant au propre qu’au figuré. Et, c’est au figuré  qu’il convient de comprendre le premier verset de cette sidra :  

וְהָ יָה עֵ קֶ ב תִּ שְ מְ עּון, אֵ ת הַ מִּ שְ פָ טִּ ים הָ אֵ לֶ ה, ּושְ מַ רְ תֶ ם וַעֲשִּ יתֶ ם, א תָ ם–וְשָ מַ ר יְ הוָ ה אֱֹלהֶ יָך לְ ָך,  .אֶ ת-הַ בְ רִּ ית וְאֶ ת-הַ חֶ סֶ ד, אֲשֶ ר נִּשְ בַ ע, לַ אֲב תֶ יָך 

Si vous obéissez à ces lois et que vous continuez à les observer, l’Éternel, votre  Dieu, sera fidèle aussi au pacte de bienveillance qu’il a juré à vos pères. 

Observer les mitsvoth reviendrait à recevoir un prix… 

Or, les Sages ne nous ont-ils pas enseigné (Pirké Avoth) de nous astreindre à  appliquer les lois sans espoir de récompense ? Dans ce domaine, en réalité,  nous nous retrouvons face à un véritable dilemme car lorsque nous parlons de  recevoir un salaire, nous l’entendons avec un effet immédiat alors que les  exégètes font comprendre que cette rétribution aura lieu avec un « effet-retard »  …. 

Le Keli Yakar1 souligne que dans le texte il n’est question que des mishpatim  et pas des houkim car, dit-il, si nous sommes astreints à appliquer des houkim qui ne tombent pas sous le sens donc, à plus forte raison nous devons nous  astreindre à observer ce que nous pouvons essayer de comprendre et plus  nous y mettons du nôtre, et plus nous embellissons la mitsva et plus grande  sera notre prix. 

Pour la plupart des commentateurs le mot « ekev » enseigne qu’il n’appartient  pas à l’homme de faire un tri parmi les 613 commandements parmi lesquels se  trouvent des mishpatim que nous comprenons et des houkim que nous ne  comprenons pas et devons assumer d’emblée. De même, il ne nous appartient  pas de savoir comment nous serons rétribués pour notre obéissance et le zèle  à appliquer les lois. 

Rabbi Shimshon Rephaël Hirsch (1808-1888 en Allemagne) donna au mot  Ekev une interprétation différente à savoir : qu’il ne faut pas négliger (fouler du  talon entend le grand commentateur) les mitsvoth qu’elles nous apparaissent  légères ou plus difficiles car le plus sage d’entre nous ne pourra jamais savoir  ou connaître l’essence des commandements divins. Au contraire, nous devons  faire de ce que HaShem a édicté, des règles fixes (kévâ קבע les mêmes lettres  que le mot עקב en désordre). 

Les promesses exprimées par D dès le début de la péricope EKEV démontrent  d’un amour profond et sans limite du Créateur pour Ses créatures. Pour  l’observation de la Torah et pour rendre à D l’amour qu’IL nous porte, le Saint  Béni soit IL promet solennellement de nous épargner tous les fléaux, toutes les  plaies, toutes les maladies, de nous faire vainqueurs de tous nos ennemis. A  propos des plaies dont Hashem nous épargnera, le Gaon de Vilna2 se pose la  question de savoir pour quelles raisons tous ces rabbins de Bné Brak dans la  Haggada de Pessah commentent les plaies et cherchent à en connaître le  nombre exact l’un dit soixante, un autre deux cent cinquante et d’autres  encore, le Gaon propose de comprendre les choses ainsi étant donné que nous  serons dispensés des plaies terribles qui se sont abattues en Egypte, plus  nous en dénombrerons et moins nous risquerons d’être touchés mais, la raison  qui semble être la plus acceptable est que toutes les plaies et leurs dérivés  étaient au nombre de 610 auxquelles s’ajoutent les trois groupes de plaies ך »דצ ב »באח ש »עד ce qui amène le Sefat Emet3 à affirmer que HaShem nous a donné  les 613 mitsvoth de la Torah pour nous permettre de lutter contre tous les fléaux  qui s’étaient abattus sur l’Egypte. 

Chaque matin, nous lisons vers la fin de l’office de shaharith les versets extraits  de Shemoth chapitre 15, versets 26 et suivants : « si tu écoutes la voix de  HaShem, ton D et que tu observeras Ses Lois (mitsvoth, houkim….) HaShem  promet d’ôter du monde toutes les maladies qu’IL a infligé aux Egyptiens car IL est notre Médecin…. Ce qui, en soi, est déjà quelque chose sans prix ! 

L’approche du Rav Yossef Patsanowsky4 de Pawionitz dans son livre Pardess  Yossef est très fouillée et, de ce fait, paraît très attachante. Il fit le décompte  des lettres de Ekev pour arriver à la somme de 172 qui est le nombre des lettres  contenues dans le décalogue et, non seulement cela, il prétend que dès la  parashath Hayé Sarah, la Torah fait allusion au Décalogue en ceci :  lorsqu’Eliezer, l’esclave d’Abraham, se rendit à Haran pour en ramener la future  épouse d’Isaac, et, lorsqu’il s’avéra que sa rencontre avec Rivka5 était la bonne,  il sortit de son sac une boucle d’or et deux bracelets ; la Torah, dont nous  savons qu’elle n’utilise pas de mots inutiles, précise que la boucle était en or et  qu’il y avait deux bracelets. Or par le fait que le mot bracelet est au pluriel nous  comprenons fort bien qu’il y en a au moins deux en ce cas pourquoi préciser ?  Pour le Pardès Yossef, il est tout-à-fait clair que ces détails font référence au  Décalogue : le « nezem » (la boucle) pesait « béka » zahav (זהב ע »בק (soit 172 grs  (?) en rapport avec les 172 lettres du décalogue, 2 bracelets qui se portent  ensemble comme les deux tables de pierre qui ne se séparent pas et chacun  pesant 10 (grs?) comme les 10 Paroles… et, de même que la Torah fournit des  détails, il importe que l’homme consacre une attention extrême sur des détails  qui forment un tout : ainsi le respect dû aux parents est un macrocosme  composé d’une infinité de microcosmes et chacun d’eux doit être peaufiné afin  d’en faire une perfection.  

Dans les différents midrashim, nos grands sages nous font remarquer à travers  les arcanes de l’Histoire un certain nombre d’enseignements concernant des  honneurs accordés à des personnages non-juifs pour leur conduite vis-à-vis  d’HaShem lui-même ou vis-à-vis de nos Patriarches. Par exemple : dans la Meguilat Ruth, la deuxième belle-fille de Noémie se nomme Orpa car,  les Sages expliquent on a vu sa nuque (en hébreu, nuque se dit oref) lorsqu’elle a quitté sa belle-mère… Sa nuque et non pas ses talons !!! Nous  reviendrons sur cette idée dans quelques instants. 

Ekev ou Akev c’est en quelque sorte poser un pied en avant sur le sol pour  avancer non seulement pour marcher mais pour évoluer, pour avancer et  progresser. Lorsqu’HaShem a ordonné à Abraham LEKH LEKHA c’est non  seulement « pars », mais plutôt : « mets- toi en route » car, l’idée est aussi de  se faire un chemin pour aller de l’avant, pour se faire un chemin et chaque pas  fait dans cette direction est un pas qui rapportera une récompense. Si le  pharaon en a reçu une pour avoir accompagné Abraham vers sa dernière  demeure, si, beaucoup plus tard, l’Ange Gabriel empêcha Nabuchodonosor de  faire plus de 3 pas et reçut sa récompense à ce sujet (6), à plus forte raison,  Abraham qui voua sa vie au Créateur reçut-il une récompense en « allant »  devant le Saint béni soit IL ! 

Ce qui revient à mettre en évidence que celui qui fait certains pas en retire un  bénéfice. 

On cite ainsi que lorsqu’Eglon, roi de Moav a reçu un messager qui se réclamait  d’HaShem, Eglon, se leva de son trône par respect pour l’Eternel, imprégné de  crainte révérencielle pour le Maître du Monde. Son salaire/récompense fut que  par l’entremise de l’une de ses filles7, un roi règnera sur Jérusalem : Salomon  descendant de Ruth. 

De même, font remarquer les Maîtres du Midrash, lorsqu’arriva le temps où  Abraham rejoignit ses pères, le pharaon d’Egypte se joignit aux obsèques et il  fit 4 pas après la dépouille mortelle du Patriarche ces 4 pas lui furent  « remboursés » pourrait-on dire par le fait que les descendants d’Abraham furent  exilés en Egypte 400 ans8

Que cela signifie-t-il ? Si HaShem demande de nous souvenir du shabbat pour  l’observer cela signifie qu’il nous appartient de nous accrocher aux moindres  détails qui composent l’observance du shabbat pour nous en délecter. Et, même si le fait de tirer un délice du shabbat consiste à faire quelques pas de  plus pour entendre une meilleure drasha ou si nous devons consacrer des  efforts supplémentaires pour faire en sorte que shabbat soit encore plus beau  que d’habitude, le Saint béni soit IL pour Lequel tout est visible prend tout en  considération. Et, si nous avons 613 commandement devant nous, nous  pourrions nous spécialiser dans l’un d’eux au moins pour pouvoir jouir d’une  bonne place dans le monde futur … 

הָ לֹוְך יֵלֵ ְך, ּובָ כ ה– נ שֵ א מֶ שֶ ְך- : chante David roi le 6, 126, Psaumes les Dans  qui celui va en’s que pleurant en est’C : Soit .הַ זָרַ ע:ב א-יָ ב א בְ רִּ נָה– נ שֵ א, אֲלֻמ תָ יו porte les grains pour les lancer à la volée, mais il revient avec des transports  de joie, pliant sous le poids de ses gerbes. 

Il est question ici d’observer la Torah c’est-à-dire d’une seule chose, mais, en y  regardant de plus près, c’est de 613 commandements qu’il s’agit et, donc de  multiples sujets. Ceci fut, d’après le midrash le centre de la « controverse » entre  le Roi David et HaKadosh baroukh Hou lorsque David exhorte HaShem de  l’exaucer sur un point mais, dans la suite du psaume il énumère bien des points  que le souverain voulait voir se réaliser. Et David répondit : j’ai pris exemple sur  Toi : Tu as dit « si tu observes Ma Loi, alors Je serai fidèle à la promesse faite  aux patriarches » et la Torah ce n’est pas un point mais c’est un ensemble où  les lois forment un tout. L’observance des mitsvoth par l’ensemble du peuple  est à l’image d’un puzzle qui, s’il manque une pièce, ne constitue plus un  ensemble. 

Prenons l’exemple d’un couple de fiancés qui vont contracter un mariage : le  fiancé + la fiancée et le dais nuptial en hébreu : hatan + kala + houppa = (en  guematriya) 458+55+99=612 plus la bénédiction nuptiale céleste = 1 donc  612+1=613 c’est-à-dire que les efforts du fiancé et de son épouse dans l’union  sacrée qu’est le mariage peuvent conduire le couple dans le cadre de cette  nouvelle famille qu’ils construisent à accomplir le vœu le plus cher de l’Eternel  : voir Son peuple s’attacher à Lui et à Sa Torah et de cette façon que ce peuple  si dur à diriger se donne la possibilité de voir s’accomplir son destin tel que  HaShem l’a conçu et promis aux trois Patriarches. 

Par la suite, le texte de la Torah aborde la question de la nourriture : le pain, entre autres. HaShem donne à Ses créatures toutes sortes d’aliments. La  bénédiction et le pays sont les thèmes centraux de cette parasha bien que l’on  y évoque aussi les tefiline et la mezouza. 

Le pain est la base de l’alimentation encore que D ait dit que « l’homme ne vivra  pas seulement de pain mais de tout ce que l’Eternel a créé pour la  consommation »…. Pourtant, à chaque fois qu’il est question de subsistance, il  est question de « mihya », qui est d’ailleurs un mot qui vient du mot hayim : vie.  

La vie du peuple juif doit se dérouler dans ce pays que D donne à Son peuple.  La Terre. Le Pays. En l’espace de trois versets le mot eretz est écrit 7 fois  allusion aux 7 fruits par lesquels le pays est distingué des autres ainsi qu’il est écrit : 

כי ה’ אלוקיך מביאך אל ארץ טובה : ארץ נחלי מים עינות ותהומות יצאים בבקעה ובהר, ארץ  חיטה ושעורה וגפן ותאנה ורימון ארץ זית שמן ודבש, ארץ אשר לא במסכנות תאכל בה לחם  לא תחסר כל בה ארץ אשר אבניה ברזל ומהרריה תחצוב נחושת. ואכלת ושבעת-וברכת את  ה’ אלוקיך על הארץ הטובה אשר נתן לך  

A la lecture de ces versets, se pose une question : pourquoi les « fruits de la  terre » qui sont les 7 fruits dont le pays a été doté apparaissent-ils dans cet  ordre ? De là, en effet, on déduira dans quel ordre on devra faire notre berakha  on commencera par les produits fabriqués à partir des 5 céréales (blé, orge,  seigle, épeautre et l’avoine) puis, si sur une table se trouvent les fruits « d’Erets 

Israël » (9), on fera d’abord la bénédiction sur le vin/jus de raisins/raisin, puis sur  les figues, les grenades, les olives et les dattes. Datte étant désignée sous  l’appellation générique de miel, car à l’époque biblique, les abeilles n’existaient  pas dans le pays et le miel était celui des dattes (silan). Quant aux olives elles  sont désignées par le liquide si précieux que l’on obtient par simple pression : l’huile avec laquelle on allume la menorah mais aussi avec laquelle on oint les  rois et avec laquelle sera oint le Libérateur ou Mashiah.  

C’est un peu cette idée que le Sefat Emet reprend lorsqu’il écrit qu’il faut, en  mangeant, déceler la présence divine dans tout ce que l’on consomme tant  dans la nourriture terrestre que dans la nourriture spirituelle et sacrée à travers  l’étude de la Torah. Lorsque le verset enseigne que : האדם יחיה לבדו הלחם על לא  c’est-à-dire que la nourriture de l’homme ne reposera pas que sur le pain, cela  signifie que nous devons aussi nourrir notre esprit autant que notre corps mais  aussi que le Saint béni soit-Il a créé d’autres choses encore que nous devons  utiliser pour nous en nourrir. Quant à la louange, puisqu’il est certain que RIEN  ne nous appartient ici- bas car D est le Maître du Monde, tout se passe comme  si on remerciait en quelque sorte notre illustre hôte de nous avoir reçus et  permis de nous restaurer avec abondance comme il est écrit dans le Birkat  (10) ואכלת ושבעת והותרת וברכת : Hamazone c’est-à-dire : tu mangeras, tu te  

rassasieras, tu en laisseras et tu remercieras (béniras). Car la bénédiction  donne une notion d’abondance…. Une raison supplémentaire de bénir est que  sans l’intervention divine en tout et pour tout, la terre ne pourrait être féconde  et fructifier. 

Au chapitre VIII, le verset 3 nous enseigne : …. L’homme vit de tout ce qui sort  de la bouche de D. La parole de D : il s’agit tout autant de la parole spirituelle  (la Torah) que la parole qui sert au matériel (shéhakol nihya bidvaro la  bénédiction que l’on prononce après avoir mangé quelque chose qui n’est ni  un fruit de l’arbre ou de la terre ou de la vigne).  

Lorsque ce même homme (haadam האדם valeur numérique 50) évolue dans la  vie, il suit une certaine progression tout comme nous l’enseigne D Lui-Même :  tu mangeras, tu seras rassasié (et alors) tu remercieras l’Eternel pour le bon  pays qu’Il t’a offert. Etant donné que nous devons remercier D pour la nourriture  dont Il nous permet de profiter tant matériellement que spirituellement, les  Sages en ont conclu que l’homme (haadam) devra s’acquitter vis-à-vis du  Créateur d’un total de 100 bénédictions quotidiennes (haadam -50- multiplié  par deux).11.  

Bénédiction en hébreu se dit ברכה) berakha) et dans ce mot on en distingue  un autre : ברך, bérekh : genou. Toutes les lois qui donnent une direction à nos  actes s’appellent ‘halakhot : הלכות dont la racine est le verbe aller ou lalékhet  ללכת. Or qu’est ce qui nous permet d’articuler nos jambes pour marcher sinon  le genou, c’est-à-dire en d’autres termes que la berakha, que nous faisons nous  mène sur la voie de la loi, de la ‘halakha. 

Rabbi Shimshon Rephaël Hirsch, relève le verset 2 où il est spécifié que  l’homme ne vit pas uniquement sur le pain. Le substantif hébraïque pour la vie  est חיים avec deux fois la lettre youd symbole de perfection mais aussi de  plénitude. Certains exégètes voient dans l’écriture des deux youd une allusion  à ce monde ci mais aussi au monde futur. D’autres pensent qu’il faut considérer  ces lettres youd comme une allusion à la vie matérielle et spirituelle sur un  même plan c’est-à-dire que si le pain nourrit le corps la berakha et l’élévation  spirituelle donnée à la nourriture par la prononciation des bénédictions d’usage  avant la prise de nourriture et après, par la prononciation des « actions de grâce »  après le repas ou la consommation d’aliments quels qu’ils soient. Et, aussi par  des paroles de Torah prononcées au cours du repas pour élever l’être humain  à un degré spirituel supérieur et le différencier une fois de plus de l’animal qui  ne peut redresser sa tête vers le Ciel comme l’homme, qui ne peut prier ni  parler comme l’être humain, qui n’est pas assujetti à des lois comme l’Humain.. 

Dr Caroline Elisheva Rebouh PhD.
ד »ר קרולין אלישבע רבוה בן אבו

 

1 – Rabbi Shlomo Ephraïm de Lountshitz né en Pologne en 1550 et mort à Prague en 1619.

2Eliyahou ben Shlomo Zalman (1720-1797) surnommé HaGra –acronyme de HaGaon Rabénou  Eliyahou). 

3 – Yéhouda Arieh Leib Alter 1847 Varsovie (Pologne) -1905 Gora Walakiya (Pologne) surnommé Sefat  Emet d’après le titre de son œuvre majeure. Petit-fils de Ytshak Méïr Alter et fils de Abraham  Mordékhay Alter. Yéhouda Arieh Leib Alter eut deux fils qui furent eux aussi continuateurs de cette  lignée

4 – Né en 1875 en Pologne et mort en 1942. Il était négociant en bois pour préserver sa parnassa (gagne pain) et le reste du temps il le consacrait à l’étude de la Torah et à la rédaction de livres sur la Torah.

5 – Eliezer avait demandé à D de le guider dans son choix et d’après sa demande au Créateur, la jeune fille à laquelle il demanderait à boire, devait lui répondre : bois et je puiserai aussi pour tes chameaux.

7 – Ruth et Orpa étaient les filles d’Eglone. 

8 – On se souviendra du fait que lors de la « brith beyn habetarim » lorsqu’Avraham se trouva entre les  « morceaux », HaShem prévint le patriarche du fait que sa descendance serait exilée dans un pays  .(בארץ לא להם) étranger.

9 – Pour les fruits d' »Erets Israël » il ne s’agit pas de fruits exportés d’Israël mais bien des 5 fruits énoncés  raisins, figues, grenades, olives et dattes.

10 – Deutéronome 11, verset 15. 

11Si nous prenons en considération que déjà avec trois fois par jour amida de 18 bénédictions = 54  avec les autres bénédictions de la vie courante nous atteignons rapidement le total de 100 et comme  pour le shabbat ce ne sont pas 18 bénédictions mais 7×3+1 moussaf il nous faut donc veiller à faire  d’avantages de bénédictions sur les mets et autres.

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