Le 4 janvier 2014 l’association CCF 770 vous invite à la 30 ième hilloula de Baba salé et pour que la fête soit à son comble,  Gad Elbaz chanteur professionnel haredi d’origine séfarade viendra chanter pour vous

Pour ceux qui ne connaissent pas Gad Elbaz, c’est un chanteur très connu en Israel qui n’a pas commencé par choix personnel dans la chanson. En effet, son père  était déjà chanteur à succès lorsque qu’il était enfant. D’ailleurs, sa première scène,  il l’a faite avec lui,  lorsqu’il avait quatre ans. Conscient d’un certain don chez son fils, il l’a invité à chanter avec lui la chanson »Aba, ot’ha ani ohev» (Papa, je t’aime). Il est né pour chanter.

L’histoire de sa famille est assez particulière. Enfant du chanteur Beny Elbaz, sa famille a toujours été regardée différemment. Mais en plus, ses parents ont entamé une techouva  et cela a constitué une curiosité supplémentaire pour le public.

A 33 ans, Gad Elbaz aime son métier et il se sent bien dans son art. Pas de doute, son père lui a fait un beau cadeau. Mais il a appris que la célébrité pouvait rendre fou. C’est une épreuve. En parallèle, on lui a aussi appris qu’Hachem n’envoie une épreuve qu’à celui qui peut la surmonter : lorsque l’on arrive en haut, on peut  échouer si on a oublié d’où l’on vient.

Son maître-mot : se renouveler. Il s’attache sans cesse à évoluer, à innover et il travaille toujours sur de nouveaux projets.

Sa famille a des origines francophones et son deuxième prénom est français ! Pour lui, le public francophone est le plus chaleureux car il apprécie vraiment la musique et sait en profiter.  En quelque sorte, lorsque il est  sur scène en France ou ici devant des Francophones, il se sent à la maison !

Son actualité : En l’honneur du prochain Kinus Hachlouhim, le chanteur israélien Gad Elbaz et le cinéaste Danny Finkelman ont réalisé un clip émouvant qui illustre l’aspiration de l’âme juive pour son Créateur.

Sur l’nterprétation envoutante de Gad Elbaz chantant le Nigun du Rabbi « Tsama Le’ha Nafishi », on voit un jeune homme juif à la recherche de ses racines écoutant la chanson intemporelle dans le métro de New York. Inspiré par le Nigun, le jeune homme se rend à la fois au siège mondial Lubavitch, au 770 Eastern Parkway, ainsi qu’au Ohel où il déverse son cœur dans la prière.

Tsama Le’ha Nafshi est le début de prochaines productions produitent par Danny Finkelman et le cinématographe Mauricio Arenas.

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