Ci dessous deux communiqués de presse de l’école « Makif He », pour Roch Hachana.

Roch Hachana: Les étudiants de l’école « Makif He» ont emballé 250 colis pour les nécessiteux.

Les étudiants de «kita youd » de l’école « Makif Hé» ont emballé cette semaine 250 colis pour les familles nécessiteuses d’Ashdod.

Cette collaboration en question dure depuis déjà 10 ans avec M. Nissim Bitton qui habite le quartier Tet-Vav et les étudiants de l’école « Makif Hé» qui viennent chez M. Bitton deux fois par an pour Rosh Hashana et Pessah pour aider à emballer des centaines de colis pour les nécessiteux.

Nissim Biton: «Je salue les étudiants de l’école « Makif Hé» qui viennent même pendant leurs vacances pour aider à emballer ces colis”. Depuis 20 ans M. Bitton organise des collectes parmi ses amis et ainsi réussit chaque année à organiser des centaines de colis pour les nécessiteux. Bitton: «Cette année, ces colis comprennent 13 produits de base pour la fête : Produits alimentaires secs, des légumes frais directement auprès des agriculteurs, des bouteilles, du poulet et des œufs. Le montant de chaque colis est d’environ 300 shekels. »

L’équipe du bureau de l’éducation et du social mentionne que les élèves font ce travail avec amour, ne craignent pas le travail physique dur et considèrent que c’est un commandement et une bonne action que d’aider les résidents nécessiteux.

Détente après la guerre “Tzouk Eitan”: les étudiants de l’école « Makif He» font la fête avec Yitzhak Meir :

Dans le cadre d’un moment de détente après la guerre “Tzouk Eitan” 1600 étudiants de l’école « Makif He» on eu aujourd’hui le plaisir d’entendre des poèmes liturgiques d’Yitzhak Meir et son équipe.Yitzhak Meir a été invité pour la deuxième année avec une série de poèmes liturgiques dans le cadre d’un programme “l’esprit juif” des étudiants. Ce programme fonctionne avec les étudiants de «kita youd » de l’école « Makif He» dans lequel sont transmises les valeurs du patrimoine juif, l’amour de son pays, des gens et du judaïsme. Cette année contrairement à l’an dernier, cette réunion de poèmes liturgiques s’est déroulée parallèlement à d’autres activités de détente qui ont été organisés par l’école les trois premières semaines de septembre pour leurs étudiants après la guerre « Tzouk Eitan ».

Ruben Kaplan

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