photo Ofer Ashtoker

Un projet de loi qui sera prochainement discuté à la Knesset stipule que les autorités locales ne pourront pas accorder aux résidents du stationnement gratuit dans toute la ville, mais uniquement dans la zone la plus proche de leur lieu de résidence. L’objectif : réduire le nombre de véhicules privés en Israël. 

Est-ce la fin de la gratuité du stationnement pour les habitants de leur ville de résidence ?
Selon la loi de plan économique qui sera prochainement discutée à la Knesset, l’État veut mettre fin à une pratique de longue date selon laquelle les résidents se voient accorder une exonération de paiement dans les parkings municipaux (peints en bleu et blanc) dans toute la ville – comme publié par Guy Lieberman, dans Globes.

Cette proposition est incluse dans le chapitre sur les transports de la loi proposée. Selon l’explication donnée pour ce changement, qui peut provoquer pas mal de critiques, il est écrit : « Cette proposition de modification d’ordonnance est motivée par le fait que les habitants de la ville ne soient pas autorisés à faire leurs achats gratuitement dans toute la ville mais uniquement autour de leur quartier.

Cependant, la loi proposée comprend une exception, selon laquelle les autorités pourront définir certaines zones à proximité du lieu de résidence des ashdodim – comme etant  exemptées de paiement pour les stationnements en bleu et blanc.

Le projet de loi explique également que le fait de rendre les stationnements payants dans la ville est une tentative du gouvernement pour réduire le nombre de véhicules privés en Israël.

« Ces mesures devraient réduire et encourager les déplacements urbains des habitants des villes, et encourager une transition vers l’utilisation des transports publics au détriment des véhicules privés », peut-on lire. 

Les politiques locales s’oppose fermement à la proposition incluse dans la loi concernant le nouveau dispositif « Nous maintenons notre position selon laquelle le public ne peut être incité à utiliser les transports en commun, lorsque de tels outils n’existent pas (ou du moins n’existent pas suffisamment). Nous nous opposons à cette derniere.

Source Ashdodnet

Ashdodcafe.com