Ici et maintenant, nous sommes obligés de revivre encore et encore les mêmes scènes qui se répètent et sont si familières à l’histoire de l’État d’Israël et du peuple Hébreu depuis des temps immémoriaux.
Terribles souffrances, quand la barbarie s’impose, quand la bête inhumaine abat son joug sur l’innocent !
La cruauté maléfique est bien le produit corrompu de ces fils de rien, ces abominables résidus de population arrivés sur cette terre déserte, nés au cœur d’un monde musulman loin de Canaan. Les voici se révélant, de manière innée, comme des assassins de tous âges parmi les Arabes palestiniens et Israéliens. Ils s’identifient les uns aux autres et forment une confrérie de tueurs assoiffés de sang juif.

La racaille inhumaine mérite son châtiment, une seule peine, la peine de mort pour toutes les organisations terroristes !

Ce sont des kamikazes nous dit-on, eh bien ils doivent savoir qu’on exaucera leurs vœux !
Élimination systématique et impitoyable de quiconque complote et commet un acte terroriste !

Perdez, tuez et détruisez chaque tentative d’une organisation terroriste !

Il faut une politique de déportation systématique, « Manu Militari », de l’ensemble des familles complices !
Nous, le peuple d’Israël, avons une colonne vertébrale métahistorique, nous affronterons à jamais n’importe quelle épreuve et nous traverserons de nouveau ces méandres, fiers et justes, emplis de la Foi de nos ancêtres !

Rien ne brisera le courage et l’héroïsme du peuple enraciné si fort en Sion, pas même l' »islamo-gauchisme » qui se déteste autant qu’il s’ignore !

Des jours, des semaines, c’est-à-dire des mois et des années ont passé, mais un terrible souvenir vibre encore et toujours dans nos poitrines, cette réalité juive, deux mille ans d’exil, entrecoupés de drames et de tragédies. Victimes sans défaut, victimes d’une folie meurtrière, d’une haine sans fin, d’un antisémitisme caché sous mille et un masques, calomniés et méprisés par de nombreux peuples dans le monde.
Malgré nos divergences d’opinions et nos oppositions, qui certes troublent la sérénité du peuple à l’intérieur du pays, j’ose espérer qu’aucune malveillance et aucun acte de terrorisme meurtrier ne nous empêchera de nous relever comme un seul homme.
Nous voici confrontés à une identité palestinienne inconnue dans l’histoire, fruit du néant, venue de nulle part, ayant réussi à être reconnue comme une entité nationale grâce à leur haine, leur monstruosité, leurs atrocités et l’accointance des forces antisémites occidentales !
Les critiques perfides et commentaires fallacieux surviennent d’un peu partout, car on connaît depuis longtemps les forces politiques opérant, à droite comme à gauche, trop souvent incapables, ou peu désireuses, d’apporter des réponses réelles et honnêtes. Une grande majorité de la population respecte ses représentants et ses gouvernements, mais personne ne comprend comment ni pourquoi, au niveau politique et administratif, un doute déraisonnable pénètre nos dirigeants alors que nous sommes dans une situation de crise existentielle pour chacun d’entre nous. Dans une telle période historique, pour l’avenir pacifique de l’État d’Israël, les cicatrices de l’exil, la peur de faire le mauvais choix obscurcissent la raison fondamentale hébraïque à la lumière de l’engagement vital. Je ressens souvent, en mon sein, parmi mes fréquentations, instruites ou non, une sorte de regret d’avoir dû lutter pour notre indépendance.

Regrettent-ils notre lutte pour une souveraineté juive retrouvée, nos combats dans un conflit inévitable, nos pertes malheureuses en vies humaines ?
Regrettent-ils d’être vainqueurs et non vaincus, de devoir surveiller notre ennemi, d’être de retour au foyer ancestral et de nous réimplanter sur notre terre ?
Tout cela me laisse pantois et sans voix devant tant d’insuffisance et d’incompétence !

Une minorité infime et plutôt bruyante voudrait même s’excuser d’avoir créé l’Etat d’Israël et ainsi de saper l’ordre mondial, nous empêcher de désirer la liberté pour notre peuple et la liberté de penser et de rêver en Hébreu.
Depuis et pour toujours, comme nous sommes fiers et exaltés face à l’effort et à l’humilité des pionniers et bâtisseurs juifs contrairement à ces humanistes, dits de gauche, qui ont depuis longtemps abandonné tout le contenu du socialisme originel œuvrant pour les masses laborieuses et la justice sociale.

La gauche « wokiste » regrette amèrement l’exigence d’une identité nationale indépendante et souveraine, elle se sent, au plus profond de son être maculé, comme une sorte de « sale Juif« .

Depuis la guerre des Six Jours, nous versons dans des débats et des rivalités sans fin à propos de notre identité Israélienne. Quelle est la réponse correcte à ces mensonges récurrents, alimentés par des forces obscures et niant l’existence de l’Etat d’Israël, face à l’idéal hébreu du peuple hébreu ?
Jérusalem déplore sa personnalité double et déchirée, Ra’hel pleure du fond de son bunker construit à Bethléem, Yossef souffre de visites volées, uniquement la nuit, jamais en plein jour. Nos Pères et Mères, enterrés à Hébron, se réconfortent à l’aune des visites de pèlerins, le peuple, lui, reste trop souvent absent !

Le gouvernement nouvellement élu doit faire ses preuves sur le terrain et non plus à travers des déclarations tonitruantes. Nous attendons de sa part, des décisions jamais prises auparavant, répondant sérieusement à l’insécurité régnante en s’engageant dans une politique sécuritaire déterminée et offensive. L’État élu a le devoir moral et physique d’assurer la sûreté de sa population, c’est-à-dire de veiller sur ses millions d’hommes, de femmes et d’enfants.
Nul n’a le droit de mettre les citoyens vivant à Sion en danger quotidien de mort.
Nul ne peut vraiment craner concernant Jérusalem comme « capitale une et indivisible », car « de facto » ce n’est guère le cas.
Nul n’est exempt de responsabilités, politiques, militaires, policières, aux dépens de tout un peuple, ici et dans la diaspora, encore et toujours plein de confiance et de loyauté envers le projet israélien.

C’est ainsi, depuis trop d’années ! Cette même situation absurde perdure !
N’est-il pas temps d’entrer dans le vif du sujet et de trancher, certes le cœur brisé, mais une fois pour toutes : accepter de revenir aux frontières de 1967, ou annexer sans ambiguïté les territoires de Judée, de Samarie et de la Vallée du Jourdain ?
Pour mettre fin à cette terrible réalité dans laquelle notre histoire d’hier à aujourd’hui reste une fausse attente, un espoir vain, et continue d’être assise entre deux chaises. Nos corps abîmés et tourmentés causent de lourdes blessures, mais l’état physiologique de notre comportement et de notre conduite manque souvent de la vérité requise, l’élimination des hémorroïdes politiques qui se mettent trop souvent à saigner dépend de notre volonté de ne plus servir aveuglément le pouvoir. Cela nous fait vraiment très mal, car nous sommes encore, et toujours, si fiers de notre État-nation !

Tous les dirigeants politiques sont loin d’être seuls à la tête du pays, ils sont accompagnés d’une pléthore de fonctionnaires technocrates et d’une faiblesse juridique persistante. J’ai un sentiment, plus que certain, sur le manque de formation convaincue, de sensibilité à l’ordre national et à l’idée souveraine de l’État. Le pouvoir est partagé, en Israël, entre une oligarchie et une ploutocratie se revendiquant comme les porte-drapeaux apologétiques de la démocratie libérale où tous les acteurs politiques de « gauche et de droite » se retrouvent dans une grande fraternité.

Cette aristocratie déclare sans ambages ne pas croire à une éventuelle victoire militaire, pas même à la capacité d’éliminer le terrorisme par la force, ni même à la capacité d’offrir à notre peuple un sentiment de paix, de sécurité et de tranquillité. Ils déclarent, depuis des lustres, que seules les négociations portent en elles l’espoir d’un avenir meilleur, et quelques retraits ici et là ou l’établissement d’un État palestinien produiront un climat de paix pour les gens de bonne volonté.

Lisons entre les lignes, pour mieux comprendre d’une part, qui sont les animaux de laboratoire, les imbéciles heureux des pouvoirs politiques, et d’autre part, les hédonistes jouisseurs. Bien sûr, ces derniers bénéficieront des plus grosses parts d’une économie de marché entièrement consacrée à l’Oncle Sam. Pour cela, ils doivent lui obéir, rester ses vassaux, s’identifier et adhérer corps et âme à sa géopolitique !

Quels sont les vrais maux, si invisibles à nos yeux, sûrement cachés au peuple ?
Quel est le contexte moyen-oriental souhaité, voire nécessaire et susceptible de plaire à « Big Brother » Qui veut répondre ?

A la mémoire de nos frères et sœurs victimes des crimes palestiniens !
Nous vengerons le sang versé !
Que leur mémoire soit bénie à jamais !

Rony Akrich pour Ashdodcafe.com