A Ashdod et Tel Aviv, ce jeûne débute à 4 h 20 et se termine à 20 h 24.
NETANYA – 19h29 – 20h32
JÉRUSALEM – 19h07 – 20h29
HAÏFA – 19h30 – 20h33
EILAT – 19h23 – 20h23
ASHDOD – TEL AVIV 19h20 – 20h31
BEER SHEVA – 19h27 – 20h29
PARIS – 21h34 – 22h55
MARSEILLE – 21h00- 22h11
LOS ANGELES – 19h48 – 20h49
MIAMI – 19h57 – 20h54
NEW YORK – 20h09 – 21h17
Chers Amis,
UN NON-JUIF POUR UNE SIDRA ?
Cinq parashoth de la Torah furent consacrées à des personnalités particulières : Noé, Jéthro (Yitro), Korah, Balak et Pinhas. Noé n’était pas Juif car le judaïsme n’existait pas encore mais, il était « tsadik » il est d’ailleurs écrit à son propos qu’il était un homme juste et qu’il avait trouvé grâce aux yeux de l’Eternel. Yitro qui était idolâtre s’est converti par la suite, Korah et Pinhas étaient Juifs : l’un optant pour le yétser harâ et l’autre qui, par sa conduite exemplaire, se dévoua pour HaShem. Pourquoi Balak ? Les Sages répliquent qu’il présentait à HaShem des sacrifices journaliers et, de plus, il fut le grand-père de Ruth la Moabite elle-même fondatrice de la dynastie royale de David HaMelekh et du Mashiah.
Les ennemis s’unissent contre Israël en tentant de l’anéantir non pas par une guerre1 car ils savaient ou devinaient que D leur viendrait en aide et que ces efforts aboutiraient à une défaite, mais différemment. Ils pensèrent donc à avoir recours à Bileâm qui parviendrait sûrement à maudire ce peuple.
Balak, à la tête du peuple de Moav a, en fait plusieurs flèches dans son carquois pour affaiblir, et férir le peuple d’Israël c’est-à-dire pour le frapper et qu’il ne se relève plus. La première de ses atteintes sera de faire maudire Israël par celui qui passe pour le Prophète le plus puissant des peuples non-juifs : Bile’âm ou Balâm en français.
La lecture de cette semaine est si particulière que de nombreuses questions sont posées au sujet des deux personnages autour desquels s’articule ce texte.
Qui est Bile’âm ?
Bile’âm est un être perverti, dévoyé et brutal qui se conduit mal même avec son ânesse qu’il soumet à ses instincts. Cependant, malgré tout l’or et les honneurs fournis par Balak, Bile’âm hésite encore à maudire Israël et, finalement, comme nous le savons tous, D transforme toutes les paroles du prophète non-juif en bénédictions multiples.
Ce prophète, Bile’âm, connaissait la Toute Puissance de D et craignait d’aller à l’encontre du Créateur bien qu’il ait dirigé sa vie sur la magie et faisait reposer sa puissance personnelle sur ses activités de magicien, et non pas sur D. De plus, Bile’âm était fort enclin à la débauche et encourageait son peuple à s’adonner aux vices au contraire de la conduite des patriarches et des prophètes qui encourageaient le peuple à se soumettre aux mitsvoth et à respecter les commandements de D.
Au cours de toute l’histoire de l’humanité, affirment les Sages dans le midrash Sifri, il y a eu 7 grands prophètes et parmi eux il y eut Bil’âm (Bal’âm). Comment se fait-il qu’HaShem ait permis à un homme pareil d’être prophète ? Les Hazal enseignent que bien qu’HaShem ait proposé la Torah à toutes les nations du Monde et que seul Israël ait accepté la Torah, l’Eternel a tenu à permettre la prophétie à d’autres hommes qu’à des Juifs et de partager aussi cette faculté pour permettre à toutes les nations de se repentir dans leur façon d’agir et de revenir vers D mais, malgré ceci, aucun d’eux n’a fait teshouva et, aucun d’eux n’a su préserver le peuple juif de fauter et de succomber devant les tentations qui ont existé comme le fait que les hommes d’Israël n’ont pas eu la force nécessaire pour reculer devant le piège tendu par les jolies femmes de Moab2 qui réussirent à faire « tomber » dans leurs filets des hommes juifs qu’elles attiraient sous des prétextes fallacieux comme boire du bon vin et les obliger alors par des stratagèmes à se prosterner devant leurs idoles puis à entretenir des relations intimes avec elles. Ces hommes qui n’avaient pas su résister à ces femmes étaient au nombre de 24,000 hommes, qui périrent victimes de leur concupiscence et de leur incapacité à contrôler leurs instincts ou pulsions.
Les trois grandes fautes qui éveillent la colère d’HaShem sont l’idolâtrie, les effusions de sang et les incestes, ou rapports interdits. Rappelons que c’est par un inceste que les filles de Loth ont donné naissance à ces deux peuples que D exècre : Ammon et Moav. Dans ce passage du livre des Nombres, se trouve un personnage du nom de Balak qui n’est autre que le roi du peuple moabite. Nous reviendrons vers lui. Le peuple d’Israël par son adhésion à la doctrine de la Torah a accepté de s’opposer à ces trois fautes qui enflamment la colère divine en leur opposant l’observance des mitsvoth de la Torah, par le culte et la bienfaisance3, mais aussi, en calquant son comportement sur celui des patriarches et en fuyant les honneurs, en ne cédant pas aux bas instincts ni à la jalousie mais au contraire en étant humbles, miséricordieux et en faisant le bien autour d’eux.
Balak convoque Bile’âm urgemment et lui confie son désir de le voir procéder à la malédiction d’Israël.
L’ânesse de Bileâm est personnifiée puisque la Torah dit à son propos : l’ânesse vit l’ange. A ce propos, Rashi souligne que l’ânesse vit ce que le « prophète » ne vit pas ainsi, l’ânesse serait effrayée tandis que cet être humain n’était pas en mesure de comprendre ce qui se passait car ce que l’ânesse distingua fut un nombre incalculable d’esprits. Bil’âm, malgré ses facultés de prophète, ne s’aperçut de rien.
La personnification de l’ânesse se poursuit avec la parole dont D a doté l’animal. Dans les Pirké Avot sont énumérés les dix phénomènes hors nature qui ont été perpétrés au long de notre histoire comme le fait que la terre se soit ouverte pour engloutir les fauteurs de trouble ainsi que cela s’est produit dans la parasha de Qorah et, à présent, lorsque l’ânesse a ouvert « sa bouche » et y dénoncera la perversion de son maître. Ainsi, l’on peut voir qu’à aucun moment une action bonne ou mauvaise ne peut se dérober au jugement divin : l’ânesse parlant, elle va démentir ce que Bileâm prétend et elle va ainsi insister sur le fait que cet homme pervers se servait d’elle comme bon lui semblait. Rabbi Akiva par ceci, souligne que Bileâm ne possédait aucunement les qualités morales pour faire de lui un prophète honorable.
L’analyse abrupte des personnages est peu agréable : Bile’âm est un homme peu amène, aux mœurs dissolues, il est borgne et revêche mais il sait qu’une limite existe lorsqu’il s’agit d’Israël. Selon les midrashim, l’ânesse de Bile’âm, celle qui fut dotée de parole4réprimandera Bil’eâm en lui rappelant certains principes qui seront évoqués plus bas.
Bien que Bile’âm signifie à Balak qu’il lui est absolument impossible de maudire Israël et bien qu’il veuille paraître comme quelqu’un de soumis à l’Eternel, malgré cela, il n’hésite pas à se joindre aux envoyés du Moabite ce qui eut le don d’exaspérer HaShem. Et, malgré la volonté du prophète païen de se faire passer pour quelqu’un obéissant aux ordres divins, il n’intentera rien qui puisse sauvegarder le peuple de la débauche à laquelle il sera confronté. Bile’âm donne toute la dimension de sa duplicité.
Dans la Guemara de Baba Bathra, les Sages émettent à propos de cette péricope, une opinion reprise aussitôt par Rashi : il est écrit : « Moïse a écrit son livre et la Parasha de Balak ». Qu’est-ce à dire ? De tous les récits rapportés dans la Torah, le seul dans lequel il n’existe pas de témoin est celui de Balak car, lorsque le prince de Moav s’entretient avec Bil’âm, aucun témoin d’Israël ne s’y trouve en dehors d’HaShem qui rapporte toute l’histoire en la dictant à Moshé rabbénou !
Pour ce qui concerne le prodige prévu dès le premier vendredi de l’Humanité de donner à l’ânesse de Bile’âm la possibilité de s’exprimer et de formuler des remontrances à l’encontre de son maître, les Sages font remarquer qu’à ce propos il n’existe pas de témoin non plus car les seules « personnes » présentes étaient l’Ange et Bile’âm….
Bile’âm constatant que l’ânesse dévie de sa route, frappe l’animal sauvagement à trois reprises, à tel point que celui-ci récrimine en lui reprochant de ne pas essayer de comprendre la raison qui se cache devant cette étrange conduite et le reproche est clair : comment oses-tu vouloir maudire un peuple qui observe les 3 fêtes de pèlerinage5 ? Les Sages voient dans ces trois fuites du sentier normal des allusions claires en relation avec les trois patriarches et avec les 3 fêtes de pèlerinage : Abraham Isaac et Jacob. En effet, en descendant du sentier pour se diriger vers les champs, c’est une allusion à Souccoth, en se dirigeant vers les vignes, l’allusion est à Pessah et lorsque l’ânesse n’a plus vers où se tourner c’est une allusion à Shavouoth où le peuple n’a eu d’autre choix que d’accepter la Torah.
L’ânesse reproche, d’après le Midrash, à son maître, malgré les apparences, de tenir absolument à maudire Israël de manière à ravir à ce peuple le mérite de ses patriarches, car Abraham lutta contre l’idolâtrie, Isaac contre les effusions de sang et Jacob contre les unions illicites. Les parallèles sont poussés encore plus loin : en effet, Abraham demande à Sara de pétrir des « galettes » correspond aux matsoth de Pessah, le bélier sacrifié en lieu et place d’Isaac est le shofar qui retentit sur le Mont Sinaï lors de la promulgation de la Torah et Souccoth car Jacob habitait dans des tentes.
Les 3 fêtes de pèlerinage correspondent aux trois patriarches par conséquent d’après plusieurs commentateurs.
Le pouvoir que Bile’âm possédait est qu’il savait tirer parti des évènements et de chaque instant. Il savait par exemple à quel moment il était impossible de maudire car à cet instant, l’esprit divin était empli de miséricorde et d’amour pour Son peuple.
Rashi, pour sa part, ajoute une appréciation qui ne manque pas d’intérêt à propos des fêtes de Pessah et de Souccoth qui durent 7 jours : « celui qui travaille à Hol HaMoëd6 de Pessah et de Souccoth est considéré comme un idolâtre » pour étayer cette opinion, le Ben Ish Hay7, stipule que lors de la faute du veau d’or, une phrase a été prononcée : « voici ton dieu, Israël » et trace un parallèle avec une autre phrase prononcée à propos des fêtes de pèlerinage : « voici tes fêtes Israël ». Le Ben Ish Hay ajoute que la faute du veau d’or a duré 6 heures en tout et pour tout et, selon lui, pour se purifier de la faute du veau d’or, il faut utiliser le principe du 1/60ème, il faut donc multiplier ces 6 h par 60 ce qui fait 360 h. C’est-à-dire donc qu’après 360 heures de « devékout » ou de communion pleine et entière avec HaShem, le peuple se purifie de ses fautes. Or, reprend le grand penseur de Bagdad, 360 heures cela fait exactement 15 jours soit les 7 jours de Pessah en entier et les 8 jours de Souccoth avec Simhat Torah y compris les jours de Hol HaMoëd !
La littérature rabbinique renferme une grande quantité de commentaires sur cette scène où Bile’âm se met en chemin avec son ânesse et la scène où Abraham se mit en route pour la ligature d’Isaac et voici ce qu’il ressort de la comparaison :
La Torah nous enseigne donc que Bile’âm s’est levé tôt (vayakom) le matin, scella son ânesse et se mit en chemin avec ses deux serviteurs mais, il le fit avec empressement car il savait que Balak accèderait à toutes ses demandes et il désirait satisfaire Balak pour pouvoir satisfaire sa propre soif de grandeur et de puissance alors qu’Abraham, dans l’épisode du sacrifice/de la ligature d’Isaac, en se levant tôt (vayashkem) le matin mettait tout son empressement à accomplir la volonté divine et en comparant les valeurs numériques de ces deux termes vayakom (162) et vayashkem (336) nous pouvons voir que ce qui différencie Abraham de Bile’âm c’est que le grand patriarche avant de se mettre en route pour cette mission tentant à prouver l’amour de D qu’il ressentait c’est que tous ses actes étaient empreints de crainte d’HaShem car, en effet, entre le simple acte de se lever et le fait de se mettre en route se trouve la crainte, le tremblement : ra’âd (resh-ayin-daleth = 274).
Rashi met en exergue ces différences terminologiques : vayashkem et vayakom mais aussi la différence entre le hamor d’Abraham et l’ânesse (aton) de Bile’âm car, le Maharal nous enseigne que l’âne d’Abraham (hamor) nous met en lien avec la matérialité du monde, et, lorsqu’Abraham « chevauche » son âne, cela signifie qu’il domine cette matérialité alors que lorsque Bil’âm « chevauche » son ânesse ce sont bien d’autres significations qui nous sont suggérées par le fait que le féminin opposé au masculin nous rappelle que l’ânesse a été assujettie par l’impureté.
Les efforts de Balak restèrent vains et le peuple avança encore dans son périple vers la Terre d’Israël en restant attaché à la pureté des mœurs et en étant en paix avec D. C’est alors que germa, dans ces esprits malsains, l’idée de faire tomber Israël en les débauchant. Ainsi donc, les enfants d’Israël se rendant dans les marchés pour y acheter ce dont ils avaient besoin, se « prostituèrent » en sacrifiant à Peor et en cédant aux tentations de « la chair ».
Les femmes moabites étaient belles et n’étaient pas farouches, peu sans faut. Voyant les Israélites se rendre au marché, revêtues de leurs plus beaux atours, elles s’approchèrent de ces hommes venant acheter des aliments ou des tissus, et offrirent leur meilleur vin dans leurs arrière
boutiques et là, une fois enivrés elles détournaient les hommes vers les idoles des Moabites : à cette époque il était permis de boire (même du vin) et de manger avec des non juifs. C’est après cette faute que fut promulguée l’interdiction de boire du vin ou de fraterniser avec un repas avec des non-juifs.
Les personnages en présence rappellent l’action des filles de Loth qui éprouvèrent la crainte de ne pas se marier et de ne pas pouvoir procréer : elles enivrèrent donc leur père à la suite de quoi elles conçurent et leurs fils Ammon et Moav donnèrent naissance à deux peuples qui tentèrent toujours de nous faire choir.
Le désir ardent de Balak d’obliger Bile’âm à maudire Israël n’aboutit qu’à plusieurs tentatives toutes aussi infructueuses qu’inefficaces se terminant même par des vers d’un lyrisme fantastique : « Que tes tentes sont belles ô Jacob » !
Balak tente de convaincre Bile’âm de mettre son funeste projet à exécution : amener la malédiction sur le peuple d’Israël et l’emmène de place en place espérant que sous un autre angle tout sera différent. Il ne lésine sur rien : il propose des sacrifices mais rien n’y fait. Au contraire : Bile’âm prophétise jusqu’à entrevoir la fin des temps et en évoquant le futur règne de David.
Bien que Balak ait ardemment désiré la fin d’Israël, le fait qu’il ait quotidiennement offert 42 sacrifices à D lui a valu d’être récompensé dans sa descendance !
Celui dont la parasha suivante portera le nom se distingue : puisque les hommes pris de vin s’abandonnèrent aux voluptés des filles de Moav. Le courroux d’HaShem s’enflamma et un fléau s’abattit sur le camp. Le soleil faisait en sorte que la nuée se retirait de devant chacun des hommes ayant péché (Zohar) et D demanda alors que chacun des juges d’Israël tue deux hommes (guemara sanhédrin 18a).
Peu de personnes ont eu l’insigne honneur de voir une parasha dédiée à leur nom surtout les personnages de premier plan de l’histoire juive, ainsi, les sidroth dont le nom est celui d’une personne sont les suivantes : Noé, Jéthro, Korah, Balak, PINHAS8. Or Noé bien qu’étant désigné comme Ish Tsadik, un homme vertueux, n’était pas Juif. Jéthro (Yithro), était un idolâtre qui se convertit par la suite, Korah bien qu’il ait fomenté toute cette révolte avait des mérites, Balak était Moabite or il est écrit à propos des Moabites que jamais un fils de Moabite ne pourra compter dans la communauté de D. Alors, pourquoi a-t-il eu l’honneur d’avoir une parasha à son nom ? Les réponses sont les suivantes : Balak bien qu’étant Moabite et idolâtre, sacrifiait à D plus de 40 bêtes chaque jour. De plus, il était un descendant du beau-père de Moïse : Yitro le prêtre Midianite qui se convertit au judaïsme, et qui, lui-même, d’après le Torat Hessed serait un descendant de Ketoura, concubine d’Abraham Avinou.
D’autre part, ce qui motiva le souhait de Balak était la crainte : car il craignait que le peuple juif n’en termine avec lui et son propre peuple comme cela s’était produit avec le roi d’Og.
Le souhait profond de Balak était d’éloigner le peuple juif de cette contrée tandis que Bile’âm souhaitait réellement anéantir le peuple juif pour qu’il n’existe plus jamais.
C’est en cette différence de conception comme l’indique le texte de la Tora entre les termes ara (alef-resh-hé) et kava (kouf-beith-he) les deux verbes se traduisent par maudire mais le premier comporte une notion de période : « pour un certain temps » tandis que le second implique un arrêt définitif. Car la haine n’habitait pas le cœur de Balak mais elle habitait celui de Bile’âm !
Pinhas, en sortant du rang fait un acte exemplaire « kiddoush HaShem » majestueux : surprenant Zimri couché avec Kozbi la Moabite, il va transpercer les parties génitales des deux protagonistes9 de sa lance.
Puis, n’écoutant que son zèle pour D, s’élança des rangs du camp Pinhas fils d’Eléazar HaCohen et petit-fils d’Aharon. Il saisit sa lance et il transperça de sa lance le pécheur et la coupable. L’homme se prénommait Zimri ben Salou. Il était un descendant de Simon qui avait vengé avec son frère Lévy l’honneur de leur sœur Dina. De nombreux miracles eurent lieu en ce temps mais il faut souligner que Zimri et Kozbi furent embrochés ensemble pendant leur acte pour qu’il ne puisse y avoir aucun déni possible et aucune goutte de sang ne s’échappa pour que tout soit clair quant au membre viril de Zimri il fut lui aussi transpercé ; en effet, porteur du sceau de l’alliance d’Abraham sur sa chair Zimri n’aurait pas dû succomber à cette faute. Le Zohar précise que Zimri et Kozbi étaient vivants et ce n’est que plus tard qu’ils succombèrent.
9– De manière qu’aucun des deux ne puisse dénier le fait.
Dr Caroline Elisheva Rebouh PhD.
ד »ר קרולין אלישבע רבוה בן אבו
1 – Ce qui tendrait à prouver que parmi ces anciens peuples, ils étaient plus perspicaces que les ennemis d’Israël actuels !!!
2 – Moav et Midyane étaient des royaumes voisins et proches en parenté.
3 – Torah, Avoda et Guemilouth Hassadim
4 – La Tradition orale nous apprend que parmi les 10 « choses » créées le premier vendredi de la Création juste avant le premier shabbat de l’Humanité, fut prévu le moment où l’ânesse de Bil’âm parlerait.
5 – Les 3 fêtes de pèlerinage ou shalosh régalim sont : Pessah, Shavouoth et Souccoth.
6 – Hol HaMoëd sont les jours de semaine qui sont considérés comme des demi-fêtes entre les premier et dernier jours de fête.
7 – Ben Ish Hay ou R’ Yossef Hayim de Bagdad 1835-1909. Auteur de nombreux ouvrages de Halakha et de Cabale notamment. Il est enseveli au cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem.
8 – Il en sera question dans la parasha suivante.
9 – De manière qu’aucun des deux ne puisse dénier le fait.
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