Le projet de spécialisation est arrivé cette année aussi à Ashdod. Le centre pour les jeunes «Kivounim» (directions) s’est joint au réseau d’entreprises «la chose suivante», qui agit un peu partout en Israël, et permet aux étudiants en fin de parcours, de se préparer à leur insertion dans la société. La demande pour ce programme est importante et seuls les plus aptes y seront intégrés.

«La chose suivante» est un programme conduit par le Fonds Rothschild de Césarée, soutenu par le Fonds Gross et le Joint, les centres des jeunes, activés par l’association Alouma, qui offre aux étudiants la possibilité, à la fin de leur cursus universitaire, de faire la connaissance du marché du travail, d’établir des contacts et surtout d’acquérir de l’expérience professionnelle auprès de sociétés qui relèvent des matières étudiées.

Des dizaines d’étudiants, habitants d’Ashdod, d’une diversité d’institutions éducatives, ont présenté leur candidature pendant les mois d’été et ont subi une sélection très sévère de la part de l’équipe du centre Kivounim. La dernière étape, décisive, dans le processus de leur admission au programme, a inclus un entretien d’embauche auprès de l’employeur chez qui l’étudiant est censé s’intégrer en cours d’année.

«A la fin du processus, s’est formée une première équipe de 20 étudiants très motivés et désireux d’apprendre le métier en dehors des murs de l’académie» dit-on au Centre Kivounim, en soulignant : «des dizaines d’employeurs sur Ashdod et ses environs se sont d’ores et déjà attelés au projet et ont ouvert leurs portes aux stagiaires».

Dans le cadre du projet, un employeur se voit accorder 120 heures de volontariat pendant une année scolaire de l’étudiant, tout droit sorti des fourneaux de l’université, et, en contrepartie, les stagiaires obtiennent un suivi et une formation professionnelle de la part de l’employeur, dans un assortiment d’ateliers dirigés par Ravite Blidstein, formatrice pour le compte du projet «la chose suivante», qui dirige les stagiaires en vue de leur départ pour le marché du travail, et leur offre des outils professionnels comme : la présentation de soi, la capacité de prendre des décisions et de faire avancer des initiatives.

Au centre Kivounim, on a foi dans l’encouragement de l’activisme et de l’implication sociale, c’est pourquoi un pan nouveau et unique en son genre a été ajouté dans la ville d’Ashdod, dans le cadre duquel tout stagiaire s’engage à prendre part dans la promotion d’une initiative reliée à la ville. Saphir Biton, étudiante qui participe au projet souligne : «Le projet consiste en une excellente plateforme pour connaître le marché du travail, acquérir de l’expérience et ouvrir des portes sur l’avenir».

Donc, si vous êtes étudiant en dernière année, et que vous êtes intéressé d’acquérir de l’expérience professionnelle avant la fin de vos études, chez «Kivounim», ils seront heureux de vous avoir avec eux dans leur prochain cycle.

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