(comme un pastiche du célèbre poème de Victor Hugo)

Demain dès l’aube, par les chemins apaisés,
J’irai.
Les poches pleines de galets
Et des brassées de bougainvillées
Des rouges  des violets,
Des blancs des safranés
Je déposerai
Sur vos tombes où vous êtes prisonniers.
Vous, aux guitares enrubannées
Vous, aux semelles de Vent
Plus jamais, les jambes des filles aux vôtres emmêlées
Plus jamais, vous irez droit devant
À la rencontre des villes et du Monde
Pour voir les filles et refaire le Monde.

Que notre mémoire et notre Histoire Sachent dire qui vous étiez !
Salut à vous !

Norbert Bel Ange
Ashdod, le 1er Août 2014

 

 

 

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