Plus le mensonge est gros, plus il est répété et plus il deviendra la vérité. C’était la spécialité du Ministre du III° Reich Joseph Goebbels. Ministre à l’Éducation du peuple et à la Propagande. Méthode que l’on peut indubitablement lier aux techniques modernes de la manipulation des masses ainsi qu’aux pressions employées par le monde musulman pour promouvoir le ‘’peuple palestinien’’.

Le résultat est à la hauteur des attentes. Si des dizaines de pays ont déjà reconnu la « Palestine », les européens, derniers écueils à cette légitimation internationale, s’empressent de nos jours, les uns après les autres, de reconnaître ce pays.

Un pays pour les ‘’Palestiniens’’, peuple victime, selon la doxa, « d’occupation, de colonisation, de transfert, d’apartheid, etc. » de la part de l’Etat d’Israël.

Un peuple qui serait ‘’dépossédé de son territoire ‘’ancestral ’’ depuis 1948, au passé historique plurimillénaire, et qui accepterait, au nom de la paix, un partage de la Palestine historique avec les juifs’’.

De quoi satisfaire le cahier des charges européen construit, paraît-il, sur les droits de l’homme.

La morale est donc sauve ! Mais qu’en est-il réellement ?

Bien incapable serait l’européen, désireux d’apporter sa solution au conflit, de produire la moindre preuve confirmant la propriété, l’histoire et la volonté de paix actuelle du peuple ‘’palestinien’’ !

Au tribut de la vérité vient participer, bien involontairement, l’édition de 1939 du Larousse illustré. Dans la page des drapeaux nationaux on y trouve le drapeau de la Palestine. L’étendard arbore fièrement l’Etoile de David, emblème par excellence du peuple juif.

Quid donc du peuple ‘’palestinien’’ ? Quid de son drapeau, preuve par neuf de l’existence d’un peuple et de sa présence sur le territoire ?

Devant cette carence logique et criante, faut-il céder en conséquence à la propagande antisémite qui exige que Jérusalem-Est soit la capitale de l’état d’un ‘’peuple’’ dont chacun peine de nos jours à démontrer sa réalité historique ?

Un matraquage incessant qui a vu le Mont du Temple se faire débaptiser en ‘’Esplanade des mosquées’’ par les journalistes et les politiques occidentaux, ou encore des animateurs de jeux télévisuels assurer à l’antenne que « Jérusalem n’est pas la capitale de l’Etat d’Israël » !

Faut-il, de surcroît, attribuer les « frontières de 1967 » au ‘’peuple palestinien’’ inventé et qui ne doit son existence qu’au seul combat de délégitimation exercé à l’encontre des droits du peuple juif sur sa terre ancestrale et qui a, quant à lui, un passé plusieurs fois et incontestablement millénaire ?

Comment qualifier ces européens qui, face à ces faits incontournables, poursuivent l’objectif de la création d’une « Palestine » au détriment des intérêts basiques de la nation juive ?

Comment désigner ceux qui pensent même lui imposer des sanctions au niveau européen si elle ne plie pas à l’injonction internationale ?

Comment expliquer et qualifier à notre époque cette ardeur européenne à vouloir reconnaître la « Palestine » alors que les Kurdes, les Kabyles ou encore les Tchétchènes, peuples connus et reconnus, sont toujours dans l’attente d’aide de l’Europe à leurs désirs d’indépendances ?

Sous le règne de Joseph Goebbels, le boycott des Juifs était devenu une action normale. Les lois excluant graduellement ceux-ci de la vie collective aussi. Les chambres à gaz ne pouvaient donc que découler de cette mise au ban internationale.

L’attaque militaire de l’Etat d’Israël deviendra t-elle à l’ordre du jour si les Israéliens se refusent au suicide et à la perte de leur identité ?

L’analogie des époques et de plus en plus troublante ! S’il faut évidemment trouver une solution au conflit, elle ne se fera pas sur le dos des Israéliens et donc du peuple juif. Ni sans eux. Ils se sont promis « plus jamais ça ».

Et ils s’y tiennent !

Publié par Victor Perez

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