Les sirènes retentiront lundi prochain, le 15 février, dans le cadre de l’exercice national des établissements scolaires.  L’exercice sera réalisé à travers tout le pays, entre 10h30 et 12h00, sous la responsabilité du ministère de l’éducation et des administrations locales, et sous la supervision du commandement du front intérieur. Tous les établissements scolaires seront soumis à cet exercice, y compris les écoles maternelles ainsi qu’une partie des garderies.

En effet, dans le cadre de l’exigence annuelle du commandement du front intérieur, plusieurs exercices sont réalisés afin de vérifier le niveau de préparation aux situations d’urgence des différents organismes et administrations, lors desquels plusieurs scénarios d’urgence sont mis à l’essai.

Lundi prochain, le 15 février, les écoles de la ville seront mises à l’épreuve dans le cadre de cet exercice national. Cette année, les écoles maternelles et une partie des garderies seront-elles aussi soumises à cet exercice.

L’exercice sera réalisé entre 10h00 et 12h30 et aura pour objectif de tester le niveau de préparation au scénario d’un tir de roquette lorsque les élèves sont en pause. A 10h05, les sirènes retentiront, et tous les occupants de l’école devront réagir en conséquence.

Afin de s’assurer du bon déroulement de l’exercice, chaque école a pu suivre ces derniers jours une formation adaptée, lors de laquelle les directives et les procédures de l’exercice ont été actualisées. Le niveau de communication entre les différents organismes d’urgence et les établissements scolaires a également été vérifié.

Comme tous les ans, le contrôle de l’exercice est effectué par le ministère de l’éducation et les administrations locales, aidés du commandement du front intérieur, grâce à ses dispositifs adaptés et à ses contrôleurs placés par les administrations locales.

«Cet exercice vise à tester tous les établissements scolaires de la région du sud» déclare-t-on au commandement du front intérieur. Dans cette optique, les officiers sécuritaires ont eu pour directive d’assigner à chaque établissement des contrôleurs, qui testeront le niveau de préparation lors de l’examen.

Il y a deux mois, la ville d’Ashdod avait déjà participé à une simulation complexe, dont avaient pris part les responsables de la gestion des situations d’urgence, notamment le maire de la ville, l’officier sécuritaire en charge de la ville, les agents de sécurité, ainsi que les directeurs des opérations.

«Nous avons eu droit aux félicitations des contrôleurs de l’exercice, et avons terminé cet exercice avec le sentiment que nous sommes prêts et que nous disposons d’une grande capacité opérationnelle.»  raconte Arieh Itah, l’officier sécuritaire en charge de la ville, ajoutant qu’il croit que les établissements scolaires seront couronnés du même succès, au vu du fait que les responsables et les élèves de ces établissements savent comment se comporter et quoi faire en temps réel.

Pas de panique ! Il ne s’agit que d’un exercice qui ne concernera que les écoles.

Edi Ben Hamou
Porte parole de la Municipalite d’Ashdod

 

 

 

 

 

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