Un prodigieux film en 4 parties, réalisé par le cinéaste Jean-Pierre LLEDO :
 « Kippour », « Hanouka », « Pourim » et « Pessah ». 

Itinéraire passionnant de ce Juif d’Algérie nourri de marxisme, d’anticolonialisme, d’antisionisme et de « Palestinisme » qui redécouvre un jour ses racines et se réinscrit dans l’aventure de son peuple en brisant le tabou et « osant » se rendre en Israël pour aller à la rencontre de la réalité de ce pays  qu’il honnissait sans le connaître.

C’est un choc salutaire qu’il exprime à travers ces écrits mais aussi par ce Road movie passionnant et touchant qui mérite d’être vu.

Films déjà produits dans les cinémathèques de TEL-AVIV, JERUSALEM et HAÏFA et ont  remporté un vif succès.

Tout le monde en parle… aussi bien dans les Revues de Presse, les Radios, les TV et les Sites Web.

Et bientôt dans toutes les cinémathèques des villes francophones en Israël… 
Prix du billet : 40 Nis

Si vous prenez la série des 4 billets, il vous en coûtera que 120 Nis, seulement.

En vente dès à présent après de Josiane 054 941 13 42 et Richard 058 407 02 48

Merci de transmettre ce mail à vos familles et amis sans modération.

Présentation du passeport vert à jour, et port du masque obligatoire

Richard COHEN-HADRIA 058 407 02 48
Le Club des Français d’Ashkelon


Israël, le voyage interdit – Un film de Jean-Pierre Lledo
Dans le cadre de ses activités culturelles, LE CLUB DES FRANCAIS D’ASHKELON, en partenariat avec les cinéastes Ziva Postec et Jean-Pierre LLEDO , projettera les quatre parties de ce film à BEIT YAD LEBANIM – 7 Réhov Hagvoura à ASHKELON ::
Première partie :   « KIPPOUR »      Dimanche 20 Février 2022 à 18.30 H                           Deuxième partie :  « HANOUKA »    Dimanche 06 Mars 2022 à 18.30 H
Troisième partie :  « POURIM »       Dimanche 13 Mars 2022 à 18.30 H
Quatrième partie :  « PESSAH »       Dimanche 03 Avril 2022 à 18.00 H


TRONC COMMUN aux synopsis des 4 parties.

Mon oncle maternel avait quitté l’Algérie en 1961… J’avais 13 ans.
Et depuis je n’avais plus eu de relation, ni avec lui, ni avec sa famille…
Je n’étais pas non plus allé à son enterrement, il y a 10 ans… Je l’aimais pourtant.
Ce n’est donc pas lui que j’avais boycotté, mais le pays qu’il avait choisi…
Israël.

Qu’est-ce qui durant plus de 50 ans avait empêché le Juif algérien communiste que j’étais ?

Ma fille Naouel a voulu m’accompagner dans cette aventure et j’ai accepté.
Une dette à rembourser…

 

I – KIPPOUR

Une famille oubliée, les Juifs d’Algérie, eux aussi perdus de vue,
n’avoir rien transmis à mes enfants, m’être complu dans l’ignorance…

Arriverai-je à me débarrasser de toutes mes fautes ?
Car d’Israël, je dus vite l’admettre, je ne savais rien.
Ni de son passé, ni de son présent.

Un mot mystérieux et oublié que ma mère utilisait souvent,
m’en ouvre soudain les portes, ‘’Tcharbeb’’…

 

II – HANOUKA

Mais pourquoi le monde ne s’était-il intéressé qu’aux réfugiés arabes ?
En Algérie où j’avais vécu jusqu’en 1993,
seul le malheur arabe palestinien avait un nom : la ‘’Naqba’’.
Le monde arabo-musulman ne s’était-il pas purgé de tous ses Juifs… ?
Et si, il n’y avait pas eu… une…. mais deux ‘’Naqbas’’ ?
Chaque jour s’approfondit le fossé entre celui que j’avais été et celui que je devenais…
Et peu à peu se reconstitue ma famille, jusque-là fantôme…
Près de sa tombe, aurai-je le pardon de l’Oncle ?

III – POURIM

Soudain, je prends conscience que si tous les peuples avaient été massacrés
à une époque ou à une autre,
les Juifs, eux, l’avaient été à toutes les époques.
Y avait-il un autre peuple au monde toujours en guerre, juste pour exister ?
Refusant pourtant d’abandonner aussi vite mon rêve de fraternité,
je décide de poursuivre notre voyage…

En arrivant en Israël, j’avais cru que la question de la Paix gênerait.
Je m’étais trompé.
Du Nord au Sud d’Israël, Juif ou Arabe, chacun avait sa solution.
Ou sa manière de vivre « le conflit », comme on dit ici…

 

IV – PESSAH

Et si mon hostilité à Israël n’avait été qu’une tentative
pour échapper à ce mot si court et si difficile à prononcer : Juif…
Et s’il en était de même pour l’humanité ?

Pourtant, la société multiethnique dont j’avais rêvé en Algérie, n’est-elle pas là ?
Ce peuple-monde, en définitive, qui est-il ?

Notre voyage se poursuit…
Voyage de tous les dangers…

Délesté des narratifs qui m’avaient constitué, n’allais-je pas me perdre ?
Et ma fille Naouel, de cette transmission tardive, qu’allait-elle en faire ?
Une fois retrouvée toute notre famille, le fantôme de l’Oncle cessera-t-il de me hanter ?