Ce mardi matin le premier poste de police a été inauguré à l’entrée des urgences de l’hôpital Assuta Ashdod, afin de rendre les services de police accessibles à la fois au public et au personnel médical. Le sergent de police Lizi Shoval du commissariat d’Ashdod a été nommée pour cette mission.

La cérémonie d’inauguration du poste de police s’est tenue en présence de nombreuses personnes dont le chef adjoint Eliyahu Shmol, le PDG de l’hôpital d’Assuta, le Dr Erez Birenbaum, le rabbin du district sud, l’inspecteur en chef Reuven Kamil. Ces deux derniers  ont placé la mezouza à l’entrée du poste de police et ont donné leur bénédiction.

Installer une policière dans l’hôpital améliorera considérablement le temps de réponse et l’efficacité de l’intervention policière lors de divers incidents criminels, lorsqu’ils produisent, au sein de l’hôpital, ainsi que pour le traitement et la gestion immédiats de la police en cas d’urgence et d’incidents faisant plusieurs victimes.

« Je suis heureux de cette collaboration a déclaré le commandant de police Ilan Shoshan.
« Merci à l’hôpital pour sa coopération, et pour le cheminement commun qui a commencé dès que nous avons reconnu le grand besoin d’installer un policier au sein de l’hôpital, dans le but de rendre les services de police accessibles au grand public à tout moment, et maintenant aussi à l’hôpital, à ceux qui ne peuvent pas se rendre seuls au poste de police en raison des circonstances. Lizzie est la personne la plus appropriée à placer ici à l’hôpital, et je suis convaincu qu’elle remplira son rôle au mieux de ses capacités. Je lui souhaite beaucoup de succès. »

Le Dr Erez Birenbaum, PDG de l’hôpital public Assuta Ashdod, a salué la mise en place du premier poste de police à l’hôpital ainsi que les efforts de la police et sa contribution à l’augmentation du sentiment de sécurité, avec sa bénédiction, mais il a ajouté :  » Au-delà de cette action, c’est une nouvelle qui est aussi porteuse de tristesse.
Le fait que les hôpitaux en Israël, où sont employées des personnes dévouées qui ont choisi de consacrer leur temps et leur énergie à sauver des vies et à soigner des patients, aient besoin de l’aide de la police pour assurer un sentiment de sécurité à tous ceux qui franchissent leurs portes, est une triste réalité qui nous, en tant que société, ne devons pas supporter, je nous souhaite, à nous et à la police, un minimum de travail à l’hôpital ».

Communiqué de l’hôpital Assuta Ashdod

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