En Israël, lorsque la CNAV présume du décès d’un retraité français, elle sollicite de l’officier d’état civil de la mairie de résidence du retraité la fourniture d’un acte de décès. Or l’état civil israélien étant centralisé, les mairies ne disposent pas de ce document.

Cette demande est alors transmise aux associations françaises locales, qui ont la charge de chercher le retraité afin de contrôler son existence. Dans bien des cas, la personne est encore vivante, et pourtant, la CNAV a déjà acté son décès et suspendu sa retraite. Evelyne Renaud-Garabedian a demandé des précisions sur cette procédure particulière et a demandé que la fourniture d’un certificat d’existence lui soit préférée.

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