Selon ce rapport, qui a été largement cité par d’autres médias mais jamais confirmé de manière indépendante, le premier patient COVID-19 était un homme de 55 ans non identifié de la province chinoise du Hubei.

Le 17 novembre 2021 marque le deuxième anniversaire de la détection du premier cas humain du nouveau coronavirus (COVID-19), donnant le coup d’envoi à la pandémie qui s’est propagée dans le monde et a fait des millions de morts, selon les médias locaux.
Le journal local The South China Morning Post (SCMP) a rapporté en mars 2020 que le premier cas de COVID-19 avait été diagnostiqué ce jour-là par les autorités chinoises, des semaines avant que l’existence de COVID-19 ne soit annoncée au monde. Selon ce rapport, qui a été largement cité par d’autres médias mais jamais confirmé de manière indépen-dante le premier patient COVID-19 était un homme de 55 ans non identifié de la province chinoise du Hubei. 
La province du Hubei abrite la ville de Wuhan, dont la plupart des experts conviennent que c’est là que la pandémie a commencé.
L’origine de la pandémie est encore âprement contestée dans le monde entier par les chercheurs et les politiques. En effet, le diagnostic du 17 novembre n’a pas encore été confirmé. Cependant, une origine datant d’octobre-novembre semble probable selon des articles universitaires étudiant les cas séquencés du SRAS-CoV2 
On ne sait pas exactement comment le virus s’est propagé et d’où il provient, bien qu’il soit largement admis qu’il s’agit d’une maladie zoonotique trouvée à l’origine chez les chauves-souris, comme le sont de nombreux coronavirus.

Une croyance commune sur la façon dont le virus a commencé à se propager chez l’homme était qu’il provenait du marché de Wuhan, ou l’on peut y acheter des animaux exotiques vivants. D’autres ont accusé l’Institut de virologie de Wuhan d’avoir été impliqué, bien qu’aucune preuve concrète à l’appui de cette affirmation n’ait encore été trouvée de manière concluante.
Une grande partie de l’incertitude concernant l’origine du COVID-19 et les premiers cas est due à la difficulté d’obtenir des rapports de la Chine. Beaucoup ont accusé Pékin d’avoir dissimulé intentionnellement le virus dans un premier temps, ainsi que de censurer les informations et de faire taire les tentatives de dénonciation.
Ce qui est clair, c’est que fin décembre 2019, le COVID-19 a commencé à se propager rapidement dans toute la Chine. Bientôt, il s’est propagé dans le monde entier et a été déclaré pandémie mondiale.
Deux ans plus tard, la pandémie continue de circuler à travers le monde, et a même muté en plusieurs variants. Un certain nombre de traitements et de vaccins ont été proposés, certains, comme le vaccin Pfizer, étant largement utilisé dans le monde.
Plus de 254 millions de personnes auraient été infectées par le COVID-19, et la maladie a également fait plus de cinq millions de morts.
source en anglais : www.jpost.com
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